samedi 30 octobre 2010

Belles couleurs et souvenirs

Lorsque nous étions jeunes, je me souviens d'avoir jouer avec ces plantes, nous faisions la guerre des pissoutes... Tout le monde prenait des fruits et s'arrosaient avec ces boules blanches. Nous n'avions rien à gagner, mais nous nous amusions avec presque rien.

Je ne sais pas très bien le nom de cette plante, mais ceci me rappelle des souvenirs avec les Provost....Que j'aimais bien d'ailleurs et qui me manquent.

Si vous savez le nom de cette plante ou si vous avez des commentaires, écrivez-moi : lisedaigle5@sogetel.net

vendredi 29 octobre 2010

Harles couronnés

Le Harle couronné (Lophodytes cucullatus) est une espèce de canard piscivore, c'est le plus petit des harles nord-américains. Autrefois, il était appelé Bec-scie couronné. Son nom anglais est Hooded Merganser.

Les mâles ont une longueur comprise entre 43 et 58 centimètres de long pour une envergure de 56 à 70 centimètres, bien que leur poids n'ai pas été spécifiquement étudié, ils pèsent en moyenne de 540 à 680 grammes[1] respectivement pour les femelles et les mâles. Ils disposent d'un bec ressemblant à ceux des harles du genre Mergus, mais n'en font pas partie. Ils sont assez maladroits en marchant, mais les femelles peuvent parcourir de longues distances avec leurs petits. Ils décollent rapidement et pour ce faire sont capables de courir sur l'eau. Ils battent très rapidement des ailes. Pour atterrir, ils pratiquent un « ski nautique ». Bons plongeurs, ils s'aident de leurs ailes et allongent leurs pattes vers l'arrière. Leurs yeux sont particulièrement bien adaptés à la vision sub-aquatique.

Les œufs de cette espèce sont presque sphériques et ont une coquille d'épaisseur non homogène.

Chez les adultes, deux barres irrégulières noires marquent les côtés de la poitrine. La queue est brun-gris sombre. La gorge, la poitrine et le ventre sont blancs. Les flancs sont fauves ou brun-roux. Chez les 2 sexes, la tête est ornée d'une huppe.

Le mâle possède un plumage qui présente une combinaison de noir, de blanc et de brun-roux. Chez le mâle adulte, la tête, le cou et le manteau sont noirs, le croupion gris. Le caractère physique le plus remarquable est constitué par la crête qui, lorsqu'elle est déployée, révèle un formidable éventail blanc bordé de noir. Quand elle est au repos, elle se réduit à une simple et large rayure blanche en arrière de l'œil.

La femelle a la tête et le cou brun grisâtre. La huppe est brunâtre et plus courte que celle du mâle. Le dos, les scapulaires, le croupion et la queue sont brun foncé. Les ailes sont brunes, avec des taches blanches. L'abdomen est blanc. Les immatures ne se distinguent des femelles que par une crête plus petite et une coloration plus pâle. Ils deviennent adultes après 2 ans[2].

Le comportement de ce harle est peu connu, notamment sur sa territorialité ou sur le comportement de la mère envers ses petits.

Il est grégaire durant l'hivernage.

Ils vivent dans les zones humides du nord-ouest des États-Unis, au sud du Canada et à l'est du Mississippi[3] dans les eaux calmes et peu profondes, les réservoirs d'eau claire avec un fond sableux ou de galets, proche des forêts tempérées. Ils sont particulièrement abondants dans la région des Grands lacs. La zone d'hivernage comprend d'une part la côte Pacifique de la Californie et d'autre part la côte du Delaware au Texas[3] dans les eaux douces comme les ruisseaux, les étangs, les baies saumâtres, les estuaires et les estrans.

Les préférences du harle couronné en matière d'habitat sont assez similaires à celles du canard branchu, d'une taille comparable, mais contrairement à ce dernier, il délaisse les eaux tourmentées ou même les lacs de grande superficie, ayant plus de mal pour s'y alimenter.
Il préfère nicher dans les cavités des arbres près de l'eau à 3 à 6 mètres du sol. Il n'hésitera pas à utiliser des nichoirs aménagés par des Carolins, s'ils sont disponibles.
Ils migrent à la fin de l'automne sur des courtes distances lorsque ces points d'eau sont pris par les glaces, en général c'est un migrant précoce. Il se déplace seul, en couple ou en petites bandes[2

Pour plus d'informations sur le harle couronné aller sur la source de mon blogue : http://fr.wikipedia.org/wiki/Harle_couronn%C3%A9
 

jeudi 28 octobre 2010

Est-ce une salamandre, un petit lézard ou une couleuvre?


Voici le Quiz de la semaine!
Aidez moi à l'identifier, cliquez sur les photos et dites-moi qui c'est! Si vous n'arrivez pas à émettre des commentaires, vous pouvez m'écrire à l'adresse : lisedaigle5@sogetel.net

J'ai envoyé mon observation à l'atlas des amphibiens et des reptiles du Québec, je vais certainement vous revenir sur le nom de la salamandre, mais selon les commentaires, ce serait une salamandre à deux lignes.




mercredi 27 octobre 2010

Anthemis tinctoria Grallagh Gold

Anthemis est un genre de plantes, les anthémis, de la famille des Asteraceae (ou Composées). L'espèce sans doute la plus connue est l'anthémis des teinturiers (Anthemis tinctoria). Certaines de ses espèces, comme celles d'autres genres voisins, prennent le nom vernaculaire de camomille.


Ce sont des plantes herbacées à feuilles alternes, très divisées. Comme toujours au sein de la famille des Asteraceae (Composées), ce qu'on appelle communément « fleur » est un capitule. Les capitules des Anthemis sont formés d'un disque de fleurs tubulées jaunes entourées de fleurs ligulées généralement blanches ou jaunes, à trois dents.


Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anth%C3%A9mis

L'anthémis des teinturiers (Anthemis tinctoria) est une plante herbacée vivace de la famille des Astéracées. Il fleurit en été à basse altitude dans la plupart des pays d'Europe occidentale, à l'exception des régions méditerranéennes.

C'est une plante de taille moyenne, à tige souvent ramifiée, à feuilles bipennatilobées vertes à revers blanchâtre et velu. Les capitules sont jaune doré. Comme pour tous les anthémis, les fleurons périphériques, ligulés, sont femelles, tandis que les fleurons du disque sont hermaphrodites.


On extrayait autrefois de cette plante une teinture jaune, ce qui explique le nom donné à l'espèce. Autres noms vernaculaires utilisés parfois : camomille des teinturiers, cota des teinturiers.


Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anth%C3%A9mis_des_teinturiers

mardi 26 octobre 2010

Tarins des pins

Le Tarin des pins (Carduelis pinus) est une espèce de passereau holarctique de petite taille, assez proche du Tarin des aulnes (Carduelis spinus) du paléarctique.

Le Tarin des pins, proche parent du Chardonneret jaune, a souvent les mêmes habitudes bien qu'il soit bien différent. Ce petit passereau brun fortement rayé se tient toujours en groupe. À la mangeoire, on remarquera aussi son chant, un gazouillis voilé, entrecoupé de « ZZZzzzzrrrrii » rapide et ascendant. Comme il se laisse facilement approcher, on pourra remarquer des taches jaunes sur les ailes et la queue dans son plumage rayé. On notera aussi son ventre rayé clair, son petit bec très pointu et sa queue fourchue. Mâle et femelle sont similaires. Toujours en groupe, on le voit dans les forêts de conifères ou mixtes en bordure des milieux ouverts comme les clairières, les champs et les cours d’eau où il y consomme les graines et les fruits. En hiver, il vient souvent en bande de 50 et plus, pour s’alimenter près des maisons. La mangeoire devient alors son lieu favori.

Son territoire de nidification couvre toute l'Amérique du Nord de l'Alaska jusqu'au Mexique. C’est un oiseau qui n’effectue pas de migration proprement dite, mais des déplacements ponctuels. Pour séduire, les mâles offrent des graines aux femelles ou décrivent des cercles en chantant, la queue dressée. Les couples nichent près les uns des autres, souvent dans le même arbre. La femelle fait son nid de brindilles, d’herbe et de mousse dans la fourche ou sur une branche de conifère à 3-15 m. Elle garnit l’intérieur de fines radicelles, d’herbe et de poils. Elle y pond 4 œufs de couleur bleu pâle et les couve seule, pendant 15 jours. Les deux parents nourrissent les petits au nid pendant 15 jours et 20 jours après la sortie du nid.

Le Tarin des pins mange les bourgeons et les graines des conifères, mais aussi des graines de bouleaux, de jeunes feuilles, des bourgeons des feuillus et des insectes. En hiver, des mangeoires garnies de graines de tournesol et de chardon vont l’attirer près des maisons. Sa présence dans une région est irrégulière d'une année à l'autre. Selon l’Atlas des oiseaux nicheurs, ces déplacements sont liés à l'abondance de la nourriture dans cette région. La coupe intensive des forêts de conifères aura certainement des effets à long terme sur son abondance…

dimanche 24 octobre 2010