samedi 31 décembre 2011

Gros-becs errant


Gros-bec errant mâle, se distingue par sa couleur plus foncé que la femelle, il nourrit son nourrison
Le Gros-bec errant (Hesperiphona vespertina) est une espèce d'oiseau granivore appartenant à la famille des Fringillidae. Auparavant, il était placé dans son propre genre Hesperiphona vespertina mais à présent il est habituellement placé dans le même genre que le Gros-bec casse-noyaux d’Eurasie.

Le Gros-bec errant mesure 18,5 centimètres. L’adulte possède une courte queue noire, des ailes noires et un large bec pâle. Le corps et le front du mâle adulte sont jaunes ; sa tête est brune et il présente une grande tache blanche à l’aile. Le plumage de la femelle adulte est brun olivâtre, le dessus est plus gris et les ailes montrent des taches blanches.


La migration de cette espèce est variable; certains hivers, on la retrouve jusqu’au sud des États-Unis. La répartition du Gros-bec errant s’est étendue vers l’est, possiblement à cause de la plantation d’érables negundos et d’autres érables et arbustes autour des fermes, et de la présence de mangeoires en hiver.

Le Gros-bec errant niche dans des forêts mixtes ou de conifères au Canada et dans les zones montagneuses de l’ouest des États-Unis et du Mexique. Le nid est construit sur une branche horizontale ou dans la fourche d’un arbre.


Les individus se nourrissent dans les arbres et les arbustes, quelquefois au sol. Ils consomment principalement des graines, des baies et des insectes. En dehors de la saison de nidification, les individus se déplacent souvent en groupe.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gros-bec_errant

vendredi 30 décembre 2011

Moqueur roux


 Le Moqueur roux (Toxostoma rufum) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Mimidae. Le moqueur roux (en anglais thrasher), est le symbole de l'équipe de hockey sur glace des Thrashers d'Atlanta évoluant en Ligue nationale de hockey.




Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Moqueur_roux

Il vit jusqu'à 12 an et fait partie de l'ordre des Passériformes de la famille des Mimidés.
Le moqueur roux a une longue queue arrondie, des ailes plutôt courtes, et un bec proéminent, légèrement incurvé vers le bas. Les parties supérieures sont brun roux. Les parties inférieures sont blanches ou chamois, densément tachetés de noir. La queue est longue et brun roux. Le moqueur roux a deux barres alaires blanchâtres. Les yeux sont jaunes. Les pattes et les doigts sont brun jaune pâle. Les deux sexes sont semblables. Le juvénile a les yeux gris ou brun, jusqu’à la moitié du premier hiver.
Le cri du moqueur roux comprend un « tschek » sec et enroué, et un « pitcheree » sifflant. Son chant est riche et mélodieux, les phrases individuelles sont souvent répétées deux ou trois fois. D’autres cris sont entendus, tels qu’un net « spuck » et un bas « churr ». Le moqueur roux a l’un des plus vastes répertoires des oiseaux d’Amérique du Nord. Il peut parfois imiter les cris des autres oiseaux. Un mâle seul peut émettre plus de 1100 sons différents. Le mâle chante une série de courtes phrases mélodieuses répétées depuis un perchoir découvert, pour défendre son territoire, et il est également très agressif lorsqu’il défend le nid.

Le moqueur roux court et surtout sautille sur le sol avec la queue dressée, ou se balance d’un côté à l’autre. Il se cache au bas et à l’intérieur des fourrés, mais il chante depuis un perchoir exposé. Pour se nourrir, le moqueur roux utilise son bec, retournant les feuilles mortes et remuant le sol. Mais occasionnellement, il picore et sonde le tapis de feuilles. Pour chercher sa nourriture, il gratte aussi le sol et déchire les feuilles. Le moqueur roux vole bas, ou sautille d’un buisson à l’autre, son plus long vol excédent rarement la largeur d’un champ ou d’une rivière. Il donne l’impression de bouger plutôt lourdement, si l’on tient compte de ses ailes courtes, leur concavité produisant habituellement un bruissement, mais ils voyagent très silencieusement. Le moqueur roux se nourrit habituellement d’insectes et de fruits. Il est omnivore, consommant des insectes, des baies, des noix et des semences, aussi bien que des vers de terre, des escargots et parfois des lézards.
Quand deux nids sont placés près l’un de l’autre, les mâles se disputent furieusement, rejoints par les femelles. Les mâles s’approchent l’un de l’autre avec beaucoup de précautions, étalant leurs plumes, et se balançant de haut en bas et d’un côté à l’autre, leur longue queue déployée, se rendent sur le sol et lancent un cri de défi, jusqu’à ce que l’un des deux charge l’autre. L’attaque une fois faite, la paix revient entre les deux parties. La parade nuptiale est très curieuse. Le mâle se pavane souvent devant la femelle, avec la queue qui traîne au sol. Il bouge avec grâce autour d’elle, et tandis qu’il est perché et qu’il chante pour elle, son corps est agité de fortes vibrations. Le moqueur roux aime se baigner dans l’eau et ensuite dans le sable des chemins. Il se baigne dans des petites flaques au moment le plus chaud de la journée, et va se rouler dans le sable pour sécher son plumage et le débarrasser des parasites.
Le nid du moqueur roux est construit par les deux adultes, dans un site protégé sur le sol, ou au bas d’un enchevêtrement de tiges et de feuillages denses. Le nid est en forme de coupe, fait de brindilles, et tapissé d’herbes, de racines fibreuses, de crin de cheval et parfois de chiffons et de plumes. La femelle dépose 3 à 5 œufs de couleur chamois pâle et terne, parsemés de brun. L’incubation dure environ 11 à 14 jours, assurée par les deux parents. Les poussins sont nidicoles, et obtiennent leur plumage à l’âge de 9 à 13 jours après la naissance. Les deux adultes nourrissent les jeunes et les couvent jusqu’à leur départ, et encore pendant une courte période après leur envol. Le moqueur roux produit deux, rarement trois couvées par an. Le moqueur roux est un hôte officiel du Vacher à tête brune qui parasite ses nids.
Les populations de moqueur roux sont en déclin, avec la disparition de son habitat buissonneux dans l’est de l’Amérique du Nord. Cette espèce est encore répandue, et sa distribution s’est étendue dans toutes les directions depuis le siècle dernier.

mardi 27 décembre 2011

Cardinal à poitrine rose



Très facile à différencier des autres oiseaux. Le mâle est noir et blanc avec une poitrine vermillon. La femelle, par contre, nous étonne avec sa différence, elle a le corps verdâtre et le dessous un peu orangé. De plus, elle a des bande ailaires blanches. Une beauté à voir!

lundi 19 décembre 2011





Le Chardonneret jaune (Carduelis tristis), appelé aussi « canari sauvage », est une espèce présente en Amérique du Nord ainsi qu'aux Bahamas et dans les îles Turques et Caïques. Il appartient à la famille des pinsons. Oiseau migrateur, on le trouve du sud du Canada à la Caroline du Nord pendant la saison de reproduction et de la frontière canadienne au Mexique pendant l'hiver. Il a pour caractéristique de muer complètement et un dimorphisme sexuel : le mâle arbore un plumage jaune vif pendant l'été et vert olive pendant l'hiver, alors que la femelle a une couleur jaune brunâtre terne qui devient plus éclatant en été. Les plumes du mâle deviennent plus colorées pendant la saison des amours afin d'attirer les femelles.
Le Chardonneret jaune est granivore et adapté à la consommation de graines grâce à un bec de forme conique et à des pattes agiles qui lui permettent de saisir les tiges dont il a besoin pour s'alimenter. Il s'agit d'un oiseau social qui se déplace en groupe lorsqu'il migre et se nourrit. Il défend un territoire pendant qu'il construit son nid. Il se reproduit à partir de la fin du mois de juillet, ce qui est relativement tard pour un pinson. Il est généralement monogame et a une seule nichée chaque année.
Le Chardonneret jaune vit au contact de l'homme, dans les banlieues des villes, attirés par la nourriture mise à sa disposition qui accroît le taux de survie de l'animal. La déforestation laisse des prairies ouvertes qui constitue l'habitat privilégié de l'oiseau.
Le Chardonneret jaune est un petit pinson de 11 à 13 cm de longueur et d'une envergure de 19 à 22 cm. Il pèse entre 11 et 20 grammes[7]. Son bec est petit, conique et rose la plus grande partie de l'année, mais il devient orange avec la mue du printemps pour les deux sexes[8]. La forme et la taille du bec correspondent à sa capacité d'extraire les graines des chardons, des tournesols et d'autres plantes qui composent son régime alimentaire[9].
Le Chardonneret jaune connaît deux phases de mue, l'une au printemps, l'autre en automne. Le dimorphisme sexuel qui affecte la couleur du plumage est particulièrement visible après la mur du printemps, lorsque le mâle se couvre de plumes aux couleurs vives pour attirer les femelles[9]. Il s'agit du seul pinson qui mue complètement, les autres oiseaux changeant la couleur de leurs plumes de façon progressive par la chute de celles-ci[10]. Il perd toutes ses plumes à chaque mue sauf celles des ailes et de la queue qui ont une couleur vert olive pour les femelles et noire pour les mâles. Les marques de ces endroits restent identiques avec de larges bandes blanches sur les ailes et des plumes blanches sur les bords de la courte queue[8].
Lorsqu'il a achevé sa mue de printemps, le mâle arbore un plumage jaune citron vif, une couleur qui vient des pigments de caroténoïde des plantes qu'il ingère[11]. Son capuchon est noir et son postérieur, visible pendant le vol, est blanc[12]. La femelle est d'un jaune tirant sur le vert olive[10]. Après la mue d'automne, les plumes d'un jaune vif deviennent ternes. L'oiseau prend une couleur chamois sur le ventre et brun-olive sur le dessus, avec une tête jaune pâle. Le plumage d'automne est quasiment le même pour les deux sexes. La seule différence tient aux marques jaune sur les épaules du mâle[13]. Dans certaines régions, les chardonnerets jaunes perdent toute trace de jaune en hiver et possèdent des tons gris bronzes avec des nuances olives seulement perceptibles vu de près.
Le jeune chardonneret jaune n'a pas la même couleur que les adultes durant son premier automne et son premier hiver. Il est d'un brun terne sur l'arrière et d'un jaune pâle sur le dessous. Les épaules et la queue sont noires avec des marques chamois et non blanches sur les ailes et l'arrière. Ces couleurs sont les mêmes pour les deux sexes[13].
Le Chardonneret jaune émet une série de gazouillis mélodieux généralement commencés d'une note longue : en vol, cela donne « tsii-tsi-tsi-tsit ». Pendant que la femelle couve les œufs, elle appelle le mâle avec un « titititit ». Avant qu'il quitte le nid, le jeune émet un cri caractéristique (« chiki » ou « chikoui »)[9]. Les adultes poussent deux types de cris pour défendre leur nichée : l'un est destiné à appeler les autres chardonnerets pour distraire un éventuel prédateur l'autre pour calmer les oisillons et les prévenir d'un.

mardi 13 décembre 2011

Diaporama Je te fiancerai dans la Justice et dans la Paix.

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Ce diaporama, je l'ai préparé pour vous partager des Paroles de l'évangile qui m'ont amené à faire de l'adoration et lors de ces adoration, il m'est monté quelques phrases que je vous partage et que vous pouvez prendre pour vous-même puisque Dieu vous aime au même niveau que moi.


Cette image a été prise sur le net.
Que Dieu vous bénisse!

lundi 12 décembre 2011

Sittelles

La Sittelle à poitrine rousse (Sitta canadensis) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Sittidae. Son nom anglais est Red-breasted Nuthatch.

La sittelle à poitrine rousse mesure entre 10,2 et 12,4 cm de long. Elle a un bandeau noir qui traverse l'oeil et contraste avec le sourcil blanc. Comme son nom l'indique, sa poitrine est de couleur rousse. Son dos est bleu-gris. Sitta Canadensis a de courtes pattes et descend le long des troncs d'arbres la tête en bas. Son corps est aplati et sa tête est relativement grosse. La femelle se distingue du mâle par une couleur plus pâle de la poitrine et de la calotte. Elle est un peu plus petite que la Sittelle à poitrine blanche, qui mesure entre 13 et 15 cm. La sittelle à poitrine rousse est la seule sittelle du Canada qui ait une rayure superciliaire blanche. Elle émet un cri nasillard et plus aigu que celui de la Sittelle à poitrine blanche, qui ressemble à "gniac-gniac-gniac".

La sittelle à poitrine rousse fréquente les forêts de conifères ou les forêts mixtes de préférence. En hiver, on peut la retrouver dans d'autres types de forêts, comme les forêts d'arbres à feuilles caduques. La majorité des individus de cette espèce sont sédentaires, cependant, quelques individus s'envolent vers le sud à l'arrivée du temps froid.

Durant l'hiver, la sittelle à poitrine rousse se nourrit essentiellement de graines de cônes de conifères. Elle visite les mangeoires où elle choisit les morceaux de suif, les graines et les noix. La sittelle à poitrine rousse à l'habitude de cacher de la nourriture dans les fentes de l'écorce des arbres. Ces provisions l'aident à passer au travers des périodes où la nourriture se fait moins abondante. Aux mangeoires, on peut assister à des comportements aggressifs et des querelles. Ces oiseaux peuvent être apprivoisés. Elle se nourrit aussi d'insectes, de larves et d'oeufs d'insectes qu'elle trouve sous l'écorce des arbres. Dans les vergers de l'ouest du Canada, sa présence permet d'atténuer la prolifération du psylle du poirier. Les propriétaires de ces vergers contruisent des nichoirs pour attirer les sittelles et les inciter à s'installer sur leurs plantations.

La reproduction des sittelles à poitrine rousse se fait au printemps, de mai à juillet. Ces oiseaux sont monogames. Ils forment une paire à l'hiver ou au début du printemps et resteront ensemble pendant 1 an ou plus. Le couple n'aura qu'une ponte par année. Les sittelles à poitrine rousse défendent leur territoire durant la saison de la reproduction. Les 2 adultes sont impliqués dans la confection du nid. Le couple creuse une cavité dans des arbres vivants ou morts, ou utilisent un trou créé par un pic. Cette cavité mesure environ 20 cm de longueur et est tapissée de fragments d'écorce, de brins de foin, de racines et de poils. Les oeufs sont déposés sur des copeaux au fond du nid. Le nid peut être creusée soit par le mâle ou la femelle. Il se situe à une hauteur variant entre 0,5 et 36m. L'ouverture du nid est enduite de résine de conifères.

La femelle pond 4 à 7 oeufs blanc pur, marqués de points brun rougeâtre. Elle ne pond qu'un oeuf par jour et elle s'occupera de l'incubation qui durera 12 jours. Durant l'incubation, le mâle apportera de la nourriture à la femelle afin qu'elle puisse passer le plus de temps possible au nid. Les petits sont nourris d'insectes et de petits invertébrés pendant 2 ou 3 semaines. Ensuite, ils quittent le nid mais continuent de suivre les parents pendant encore quelques semaines. Peu d'informations sont disponibles au sujet du développement des petits dans le nid.

La sittelle à poitrine rousse niche dans les forêts de conifères du sud-est de l'Alaska jusqu'à Terre-Neuve. Au sud, elle se retrouve jusqu'au sud de la Californie, au sud-est de l'Arizona, au Wyoming, au Dakota du sud, au Minnesota, au Michigan, au Tennessee, en Caroline du Nord, dans l'État de New York et au Massachusetts.



dimanche 11 décembre 2011

Sorbier des oiseaux


Le Sorbier des oiseleurs ou Sorbier des oiseaux (Sorbus aucuparia L.) est un petit arbre appartenant à la famille des rosacées et au genre Sorbus. Il est appelé masko au Canada.[réf. souhaitée]

Les branches sont lisses, grisâtres. Les feuilles sont pennées, à 5 ou 7 paires de folioles finement dentées, vertes des deux côtés, légèrement duveteuses au revers. Les fleurs blanches, à 5 pétales, sont groupées en corymbes. Elles ont une odeur forte, peu agréable. Les fruits, les sorbes, sont des baies rouge orangé très appréciées par les oiseaux, notamment les grives.
L'arbre dépasse rarement 15 mètres. Il pousse dans les bois, les forêts et les haies, dans les landes et les lieux rocheux, souvent en altitude (en moyenne montagne), sur sol léger. Floraison en mai-juin, fruits à maturité à la fin de l'été. Ces fruits persistent longtemps sur l'arbre en hiver, ce qui lui donne un intérêt décoratif indéniable, et surtout constitue une réserve de nourriture pour les oiseaux. Il peut vivre une centaine d'années.
Cet arbre, qui est le plus répandu des sorbiers, est souvent planté comme arbre d'alignement ou d'ornement dans les parcs et jardins.
Les sorbes ont été utilisées comme appâts pour les oiseaux. Les fruits frais ne sont pas comestibles par l'homme. Ils contiennent notamment des acides sorbique, malique et parasorbique (ce dernier étant toxique), ainsi que différents sucres dont saccharose, dextrose et du sorbitol. Ce sucre, qui fut découvert dans les baies du sorbier, est désormais synthétisé et utilisé comme édulcorant, notamment pour les diabétiques. Le noyau contient un hétéroside toxique (amygdaloside).
Ils deviennent comestibles lorsqu'ils sont bien mûrs, blets, et à condition d'être cuits. Ils servent parfois à préparer des confitures, et aussi à fabriquer, par distillation, une boisson alcoolisée du type kirsch. Ils ont des propriétés laxatives et diurétiques.

Le bois, dur et blanc, était apprécié pour fabriquer les rayons de roues de charrettes ou des manches d'outils, ou pour le tournage.

vendredi 18 novembre 2011

Pintardes de Numidie

Belle surprise, d'avoir été capable de voir ces deux Pintardes de Numidie dans un fosée près de ma résidence. Je croyais que c'était des dindons sauvages, mais j'ai été agréablement surprise de voir que ces deux beaux oiseaux était des Pintardes.
(vues en mai 2011)





Pour répondre à une question posée via mon courriel

La question était celle-ci : comment reconnaître la femelle du mâle chez les Pintardes de Numidie...

Réponse :
De mon côté, je n'ai vu que ces deux pintardes et j'ai eu une chance vraiment innouie de les voir. Il paraît que ce sont des oiseaux qui se sont évadé de captivité. Mais pour répondre à ta question, j'ai fait quelques recherches... Tu peux aller sur le site :

http://www.pintades.info/pintade4.html

J'ai été voir sur des sites différents et voici une réponse:

la tête du mâle est plus grosse et ses barbillons sont turgescent et plus écartés.
l'examen du cloaque est la plus pratiquée pour reconnaître les sexes.

Je te donne d'autres sites ou forums...
http://volaillenatureloisir.forumactif.com/t522-pintades
http://www.gallinette.net/forum/showthread.php?p=472747

Dans mes livres, je n'ai qu'un livre qui parle de la Pintarde de Numidie, ils disent que les sexes sont semblables. Mais, habituellement, le mâle a toujours plus de couleurs que la femelle et le cri est différent.

Le mâle et la femelle présentent un plumage identique,rendant impossible la différenciation entre les deux sexes. Bien qui soit reconnu que la pintade criaille, le mâle et la femelle ont des façons différentes de s'exprimer dans leur chant. Le mâle émet des sifflement aigus et perçants, alors que la femelle est beaucoup moins bruyant et peut se distinguer par deux syllabes. Autre info: La pintade mâle la caroncule s'épaissit vers le bas tandis que la femelle ça reste d'épaisseur égale.

J'espère que ceci pourra répondre à ta question.
Bonne journée!




Lizon

mercredi 16 novembre 2011

Bruant familier et bruant hudsonien




Le bruant familier et le bruant hudsonien se ressemblent beaucoup, ils ont tous les deux une jolie calotte rousse. Une différence existe lorsque nous observons le bruant hudsonien. Il a une tache au milieu de la poitrine. Le bruant familier a une poitrine grise sans tache ainsi que les joues grises et la nuque. L'hudsonien a le bec bicolore lorsqu'on le voit de près et il a aussi une ligne rousse derrière l'oeil. Le bruant familier a un bandeau noir sur l'oeil. Pouvez-vous faire la différence entre les deux?

lundi 7 novembre 2011

La viorne obier





La viorne obier (Viburnum opulus) est un arbuste à feuilles caduques et palmées, de la famille des Caprifoliacées. Les fleurs blanches forment en juin-juillet de larges ombelles avec des fleurs centrales petites et fertiles et de grandes fleurs extérieures stériles.

Les fruits sont des baies rouges un peu malodorantes à maturité, considérées comme non comestibles, mais utilisées dans les médecines traditionnelles comme toni-cardiaques. C'est une plante des bois sur sol humide et des marais, ne dépassant pas l'altitude de 1 600 m. Autres noms communs : rose de Gueldre, boule de neige, obier, viorne aubier, aubier.

vendredi 28 octobre 2011

Les bruants des neiges ou Plectrophanes des neiges



Les bruants des neiges arrivent au début de l'hiver. Ils sont rarement seuls, ils virevolent en colonie. Ils sont tellement acrobatiques que nous pourrions penser qu'ils font partie du Cirque du Soleil.

Bientôt ils seront à nos portes. C'est un spectacle féérique à surveiller. 

Aujourd'hui, le bruant des neiges est appelé Plectrophane des neiges puisque  ils ont repris leurs noms d'origine depuis peu. Plectrophane des neiges puisqu’ils se trouvent soustraits de la famille des bruants et placés dans la nouvelle famille des Calcariidés, placée entre les jaseurs et les parulines (voir QuébecOiseaux, Été 2010, p. 9).


lundi 3 octobre 2011

Diaporama d'oiseaux partie 1

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Ainsi, vous aurez le diaporama au complet et c'est mieux pour le entendre le son et voir les effets des présentations PowerPoint.

lundi 26 septembre 2011

Bruant chanteur


Voici un bruant chanteur. Vous l'avez peut-être déjà entendu le matin. Il chante de très bonne heure. Sa caractéristique est qu'il a une tache pectorale brune à l'avant.

Mesurant 15 à 17 centimètres de long, le corps, sauf le ventre, est brun avec des filets plus sombres sur le dos. L'abdomen est clair avec quelques plumes foncées et une tâche brune au milieu de la poitrine. La face est grise avec un trait foncé au niveau de l'oeil.


Son chant est composé de plusieurs mélodies (5 à 15), le nombre de ces dernières étant un élément de choix pour la femelle qui désire s'accoupler. Les chants ont également un rôle de communication entre deux mâles en concurrence, pouvant signifier de l'indifférence, ou au contraire de l'agressivité vis-à-vis de l'autre (changement rapide de mélodies ou chant d'amplitude faible)


Cet oiseau vit dans les fourrés et les buissons, en particulier dans ceux bordant les cours d'eau et les étangs, dans les lisières forestières et les grandes haies.

Il a un régime alimentaire essentiellement granivore

 Son nid est une coupe d'herbes, écorces et feuilles, dissimulé dans un buisson ou de hautes herbes, où la femelle pond 3 à 5 œufs, qu'elle couve seule pendant 12 à 13 jours (même si le mâle la ravitaille, ainsi que la nichée).


Les jeunes sont indépendants à l'âge de 4 semaines.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruant_chanteur





vendredi 23 septembre 2011

La verge d'or!

Voici une plante que nous retrouvons souvent dans le bord de nos forêts. Elle est très belle et cela fait de très belles photos. À quoi sert la verge d'or? Cette plante indigène se démarque par sa capacité à limiter l'invasion des semences des arbres voisins.
Dans l'émission Découverte de dimanche le 8 août 2010, ils parlaient de cette plante qui représente pour eux un espoir pour Hydro-Québec. Selon le reportage, ils essaient de trouver une plante qui aiderait à empêcher la forêt de trop se régénérer le long des piliers d'Hydro-Québec. Étant donnné que cette plante empêche la forêt de reproduire les arbres à cause de ses vertus, ils font des recherches pour faire en sorte que la verge d'or puisse pousser partout le long des lignes d'Hydro-Québec pour éviter l'émondage d'arbres et les problèmes reliés à la pousse d'arbres le long des lignes.

Bonne journée!



 

mardi 13 septembre 2011

Un grand héron


 La taille d'un grand héron peut atteindre 1,2 m de haut. Plusieurs l'appelle à tort la grue du Canada. La différence est surtout en vol, le grand héron replie son cou et la grue du Canada possède une calotte rouge et un croupion panaché.

J'aime beaucoup les Grands Errons, je trouve qu'ils ont une certaine prestance et une élégance qui fait d'eux un oiseau très intéressant à observer.

Bonne journée!

jeudi 8 septembre 2011

Cerisier griotte de Montmorency

 Le terme cerisier est un nom vernaculaire ambigu qui désigne en français plusieurs espèces d'arbres du genre Prunus. Ce sont des arbres fruitiers donnant des cerises ou des arbres ornementaux, originaires du Japon, plantés uniquement pour leurs fleurs et dont les fruits sont insignifiants. Comme de nombreuses espèces produisant des fruits à noyaux, les cerisiers appartiennent au genre Prunus dans la famille des Rosaceae. Ils sont cultivés depuis la plus haute Antiquité au Moyen-Orient et en Asie. Les différentes espèces de cerisiers donnent des fruits plus ou moins astringeants, gros ou sucrés.
Si les baies sauvages entrent parfois dans la composition de liqueurs, confitures et autres plat locaux, les arboriculeurs ont développé des variétés à plus gros fruits, destinés à être consommés crus ou dans des préparations culinaires variées.
La cerise de Montmorency, courte queue ou « gaudriole » fait partie de la famille des amarelles et des griottes. Elle a une couleur vive, une queue courte, une enveloppe très fine, une chair tendre et un jus incolore légèrement acidulé.

Au XIXe siècle, des Parisiens louent des arbres à l'heure pour manger des gaudrioles sur place. Elle est cultivée dès le XVIIIe siècle. Il existait des vergers au bord de la forêt de Montmorency. Les villes de Soisy-sous-Montmorency et de Saint-Prix sont les dernières à maintenir une production. Elle concerne la Montmorency royale et de Saint-Aignan greffées sur des merisiers. Elles doivent être récoltées avec leur queue sous peine de ne pas se conserver. Elles sont conservées en confiture, conserve ou eau-de-vie.
En Amérique du Nord, les cerises Montmorency sont cultivées notamment au Michigan et au Wisconsin aux États-Unis et en Ontario au Canada, pour la production de jus, de tartes. etc. Des recherches scientifiques récentes indiquent qu'elles seraient riches en anthocyanes.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cerise_de_Montmorency
 
Famille :Rosacées


Cette variété, très classique, produit des fruits de taille moyenne, rouge vif, globuleux, à la peau translucide. Leur chair molle, au jus incolore, est idéale pour faire des confitures.

Sa maturité s'échelonne de juin à juillet.  L'arbre, au port buissonnant, semi-étalé, est d'une vigueur moyenne mais de bonne productivité.

Les griottes «Montmorency» et leurs petits cousins «Meteor», «Evans» «Northstar» sont des arbres très rustiques qui peuvent atteindre une taille considérable - un bon 8 m chez «Montmorency».

Les griottes sont des cerises aigres-douces qui conviennent merveilleusement aux compotes et aux tartes. Un délice, je vous dis. On peut aussi en faire une liqueur exquise en mélangeant les fruits tels quels dans une solution d'alcool et un peu de sucre pour ensuite laisser reposer durant cinq ou six mois.

On a tendance à les confondre avec les cerises de «France», un terme pour le moins étrange quand on sait qu'elles sont produites aux États-Unis, en Colombie-Britannique et en Ontario. Leurs fruits sont charnus, à chair sucrée et douce. On les appelle d'ailleurs les cerises douces, par opposition aux griottes, les cerises sures.

On mesure le taux de sucre d'une cerise par des degrés Brix. La griotte «Montmorency» affiche 12 Brix. Sa cousine «Evans», 13. Généralement, les cerises douces ont un taux variant de 23 à 29 Brix. La différence est remarquable.

Mais les choses ont changé. Des recherches menées à l'Université de la Saskatchewan au cours des années 90 ont permis d'obtenir des cultivars dont les fruits ont une teneur exceptionnelle en sucre. Les cerises conservent toujours leur goût acidulé mais elles sont presque deux fois plus sucrées, quasiment autant que les cerises de «France».

La plupart sont autoféconds (pas besoin de planter deux variétés côte à côte). Mieux encore, les fruits sont relativement gros, aussi volumineux parfois que les fameuses cerises douces vendues à l'épicerie. Bref, des cultivars qui s'annoncent extrêmement prometteurs.

Source : http://montoit.cyberpresse.ca/cour-et-jardin/jardin/200807/28/01-872468-des-griottes-sucrees.php
Si vous réussissez à avoir des fruits de ce cerisier, il vaudrait mieux vous munir d'un léger filet afin de préserver votre récolte puisque nos amis les oiseaux en raffolent... dépêchez-vous si vous voulez y goûter...

Bonne journée!

mercredi 7 septembre 2011

Gaillarde orange et citron

Cette vivace robuste porte une floraison lumineuse. Chaque pétale est coloré d'orange et de jaune. Cette plante facile d'entretien est exempte de maladies. On l'utilise aussi bien en massifs qu'en pots.

Nom latin : Gaillardia 'Oranges and Lemons'
Utilisation : Bordure, Contenant, Plate-bande, Rocaille
Espacement : 50 à 70 cm
Zone climatique : ZONE 3
Ensoleillement : 4
Soleil, Mi-ombre
Couleur de floraison : Orange
Période de floraison : Juillet, Août, Septembre
Sol : Moyennement riche, frais et drainé.



 Les gaillardes (genre Gaillardia) sont connues pour leur longue floraison; les cultivars anciens s’épuisaient littéralement à force de fleurir. Plusieurs nouveaux cultivars ont conservé la capacité de fleurir très longtemps tout en y survivant mieux. Parmi eux, la gaillarde «Oranges and Lemons» (Gaillardia grandiflora «Oranges and Lemons») est mise à l’essai depuis deux ans dans notre jardin; sa floraison est non seulement abondante, mais aussi continue de juin à octobre.

La plante, rustique (zone 5), atteint 30 à 40 cm (12 à 16 po) de hauteur et d’étalement; elle porte de magnifiques capitules jaune or et abricot. Ce cultivar a une bonne tolérance aux fortes chaleurs et à la sécheresse une fois qu’il est bien établi.


Sa couleur pêche attire l'attention comme ce fut d'ailleurs le cas lors de sa présentation officielle en 2004, à l'exposition florale de Chelsea, en Angleterre.

La plante atteint une soixantaine de centimètres et fleurit théoriquement plus longtemps que les autres gaillardes. Elle est aussi plus florifère (si on coupe les fleurs fanées) et les inflorescences persistent plus longtemps sur la hampe florale. Plante de plein soleil, le nouveau cultivar est aussi considéré comme résistant à la sécheresse, du moins un certain temps. Il se reproduit par boutures qui sont sujettes à des royautés.

Mais il y a un hic. Cette gaillarde est peu rustique. Par ailleurs, un producteur québécois a réussi à sauver 60% de ces spécimens au cours de l'hiver en les conservant sous des toiles géotextiles, une technique couramment utilisée en pépinière. La plante sera donc vivace avec une protection hivernale comme le conseille d'ailleurs la firme de mise en marché.