mardi 13 décembre 2011

Diaporama Je te fiancerai dans la Justice et dans la Paix.

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Ce diaporama, je l'ai préparé pour vous partager des Paroles de l'évangile qui m'ont amené à faire de l'adoration et lors de ces adoration, il m'est monté quelques phrases que je vous partage et que vous pouvez prendre pour vous-même puisque Dieu vous aime au même niveau que moi.


Cette image a été prise sur le net.
Que Dieu vous bénisse!

lundi 12 décembre 2011

Sittelles

La Sittelle à poitrine rousse (Sitta canadensis) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Sittidae. Son nom anglais est Red-breasted Nuthatch.

La sittelle à poitrine rousse mesure entre 10,2 et 12,4 cm de long. Elle a un bandeau noir qui traverse l'oeil et contraste avec le sourcil blanc. Comme son nom l'indique, sa poitrine est de couleur rousse. Son dos est bleu-gris. Sitta Canadensis a de courtes pattes et descend le long des troncs d'arbres la tête en bas. Son corps est aplati et sa tête est relativement grosse. La femelle se distingue du mâle par une couleur plus pâle de la poitrine et de la calotte. Elle est un peu plus petite que la Sittelle à poitrine blanche, qui mesure entre 13 et 15 cm. La sittelle à poitrine rousse est la seule sittelle du Canada qui ait une rayure superciliaire blanche. Elle émet un cri nasillard et plus aigu que celui de la Sittelle à poitrine blanche, qui ressemble à "gniac-gniac-gniac".

La sittelle à poitrine rousse fréquente les forêts de conifères ou les forêts mixtes de préférence. En hiver, on peut la retrouver dans d'autres types de forêts, comme les forêts d'arbres à feuilles caduques. La majorité des individus de cette espèce sont sédentaires, cependant, quelques individus s'envolent vers le sud à l'arrivée du temps froid.

Durant l'hiver, la sittelle à poitrine rousse se nourrit essentiellement de graines de cônes de conifères. Elle visite les mangeoires où elle choisit les morceaux de suif, les graines et les noix. La sittelle à poitrine rousse à l'habitude de cacher de la nourriture dans les fentes de l'écorce des arbres. Ces provisions l'aident à passer au travers des périodes où la nourriture se fait moins abondante. Aux mangeoires, on peut assister à des comportements aggressifs et des querelles. Ces oiseaux peuvent être apprivoisés. Elle se nourrit aussi d'insectes, de larves et d'oeufs d'insectes qu'elle trouve sous l'écorce des arbres. Dans les vergers de l'ouest du Canada, sa présence permet d'atténuer la prolifération du psylle du poirier. Les propriétaires de ces vergers contruisent des nichoirs pour attirer les sittelles et les inciter à s'installer sur leurs plantations.

La reproduction des sittelles à poitrine rousse se fait au printemps, de mai à juillet. Ces oiseaux sont monogames. Ils forment une paire à l'hiver ou au début du printemps et resteront ensemble pendant 1 an ou plus. Le couple n'aura qu'une ponte par année. Les sittelles à poitrine rousse défendent leur territoire durant la saison de la reproduction. Les 2 adultes sont impliqués dans la confection du nid. Le couple creuse une cavité dans des arbres vivants ou morts, ou utilisent un trou créé par un pic. Cette cavité mesure environ 20 cm de longueur et est tapissée de fragments d'écorce, de brins de foin, de racines et de poils. Les oeufs sont déposés sur des copeaux au fond du nid. Le nid peut être creusée soit par le mâle ou la femelle. Il se situe à une hauteur variant entre 0,5 et 36m. L'ouverture du nid est enduite de résine de conifères.

La femelle pond 4 à 7 oeufs blanc pur, marqués de points brun rougeâtre. Elle ne pond qu'un oeuf par jour et elle s'occupera de l'incubation qui durera 12 jours. Durant l'incubation, le mâle apportera de la nourriture à la femelle afin qu'elle puisse passer le plus de temps possible au nid. Les petits sont nourris d'insectes et de petits invertébrés pendant 2 ou 3 semaines. Ensuite, ils quittent le nid mais continuent de suivre les parents pendant encore quelques semaines. Peu d'informations sont disponibles au sujet du développement des petits dans le nid.

La sittelle à poitrine rousse niche dans les forêts de conifères du sud-est de l'Alaska jusqu'à Terre-Neuve. Au sud, elle se retrouve jusqu'au sud de la Californie, au sud-est de l'Arizona, au Wyoming, au Dakota du sud, au Minnesota, au Michigan, au Tennessee, en Caroline du Nord, dans l'État de New York et au Massachusetts.



dimanche 11 décembre 2011

Sorbier des oiseaux


Le Sorbier des oiseleurs ou Sorbier des oiseaux (Sorbus aucuparia L.) est un petit arbre appartenant à la famille des rosacées et au genre Sorbus. Il est appelé masko au Canada.[réf. souhaitée]

Les branches sont lisses, grisâtres. Les feuilles sont pennées, à 5 ou 7 paires de folioles finement dentées, vertes des deux côtés, légèrement duveteuses au revers. Les fleurs blanches, à 5 pétales, sont groupées en corymbes. Elles ont une odeur forte, peu agréable. Les fruits, les sorbes, sont des baies rouge orangé très appréciées par les oiseaux, notamment les grives.
L'arbre dépasse rarement 15 mètres. Il pousse dans les bois, les forêts et les haies, dans les landes et les lieux rocheux, souvent en altitude (en moyenne montagne), sur sol léger. Floraison en mai-juin, fruits à maturité à la fin de l'été. Ces fruits persistent longtemps sur l'arbre en hiver, ce qui lui donne un intérêt décoratif indéniable, et surtout constitue une réserve de nourriture pour les oiseaux. Il peut vivre une centaine d'années.
Cet arbre, qui est le plus répandu des sorbiers, est souvent planté comme arbre d'alignement ou d'ornement dans les parcs et jardins.
Les sorbes ont été utilisées comme appâts pour les oiseaux. Les fruits frais ne sont pas comestibles par l'homme. Ils contiennent notamment des acides sorbique, malique et parasorbique (ce dernier étant toxique), ainsi que différents sucres dont saccharose, dextrose et du sorbitol. Ce sucre, qui fut découvert dans les baies du sorbier, est désormais synthétisé et utilisé comme édulcorant, notamment pour les diabétiques. Le noyau contient un hétéroside toxique (amygdaloside).
Ils deviennent comestibles lorsqu'ils sont bien mûrs, blets, et à condition d'être cuits. Ils servent parfois à préparer des confitures, et aussi à fabriquer, par distillation, une boisson alcoolisée du type kirsch. Ils ont des propriétés laxatives et diurétiques.

Le bois, dur et blanc, était apprécié pour fabriquer les rayons de roues de charrettes ou des manches d'outils, ou pour le tournage.