jeudi 8 septembre 2011

Cerisier griotte de Montmorency

 Le terme cerisier est un nom vernaculaire ambigu qui désigne en français plusieurs espèces d'arbres du genre Prunus. Ce sont des arbres fruitiers donnant des cerises ou des arbres ornementaux, originaires du Japon, plantés uniquement pour leurs fleurs et dont les fruits sont insignifiants. Comme de nombreuses espèces produisant des fruits à noyaux, les cerisiers appartiennent au genre Prunus dans la famille des Rosaceae. Ils sont cultivés depuis la plus haute Antiquité au Moyen-Orient et en Asie. Les différentes espèces de cerisiers donnent des fruits plus ou moins astringeants, gros ou sucrés.
Si les baies sauvages entrent parfois dans la composition de liqueurs, confitures et autres plat locaux, les arboriculeurs ont développé des variétés à plus gros fruits, destinés à être consommés crus ou dans des préparations culinaires variées.
La cerise de Montmorency, courte queue ou « gaudriole » fait partie de la famille des amarelles et des griottes. Elle a une couleur vive, une queue courte, une enveloppe très fine, une chair tendre et un jus incolore légèrement acidulé.

Au XIXe siècle, des Parisiens louent des arbres à l'heure pour manger des gaudrioles sur place. Elle est cultivée dès le XVIIIe siècle. Il existait des vergers au bord de la forêt de Montmorency. Les villes de Soisy-sous-Montmorency et de Saint-Prix sont les dernières à maintenir une production. Elle concerne la Montmorency royale et de Saint-Aignan greffées sur des merisiers. Elles doivent être récoltées avec leur queue sous peine de ne pas se conserver. Elles sont conservées en confiture, conserve ou eau-de-vie.
En Amérique du Nord, les cerises Montmorency sont cultivées notamment au Michigan et au Wisconsin aux États-Unis et en Ontario au Canada, pour la production de jus, de tartes. etc. Des recherches scientifiques récentes indiquent qu'elles seraient riches en anthocyanes.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cerise_de_Montmorency
 
Famille :Rosacées


Cette variété, très classique, produit des fruits de taille moyenne, rouge vif, globuleux, à la peau translucide. Leur chair molle, au jus incolore, est idéale pour faire des confitures.

Sa maturité s'échelonne de juin à juillet.  L'arbre, au port buissonnant, semi-étalé, est d'une vigueur moyenne mais de bonne productivité.

Les griottes «Montmorency» et leurs petits cousins «Meteor», «Evans» «Northstar» sont des arbres très rustiques qui peuvent atteindre une taille considérable - un bon 8 m chez «Montmorency».

Les griottes sont des cerises aigres-douces qui conviennent merveilleusement aux compotes et aux tartes. Un délice, je vous dis. On peut aussi en faire une liqueur exquise en mélangeant les fruits tels quels dans une solution d'alcool et un peu de sucre pour ensuite laisser reposer durant cinq ou six mois.

On a tendance à les confondre avec les cerises de «France», un terme pour le moins étrange quand on sait qu'elles sont produites aux États-Unis, en Colombie-Britannique et en Ontario. Leurs fruits sont charnus, à chair sucrée et douce. On les appelle d'ailleurs les cerises douces, par opposition aux griottes, les cerises sures.

On mesure le taux de sucre d'une cerise par des degrés Brix. La griotte «Montmorency» affiche 12 Brix. Sa cousine «Evans», 13. Généralement, les cerises douces ont un taux variant de 23 à 29 Brix. La différence est remarquable.

Mais les choses ont changé. Des recherches menées à l'Université de la Saskatchewan au cours des années 90 ont permis d'obtenir des cultivars dont les fruits ont une teneur exceptionnelle en sucre. Les cerises conservent toujours leur goût acidulé mais elles sont presque deux fois plus sucrées, quasiment autant que les cerises de «France».

La plupart sont autoféconds (pas besoin de planter deux variétés côte à côte). Mieux encore, les fruits sont relativement gros, aussi volumineux parfois que les fameuses cerises douces vendues à l'épicerie. Bref, des cultivars qui s'annoncent extrêmement prometteurs.

Source : http://montoit.cyberpresse.ca/cour-et-jardin/jardin/200807/28/01-872468-des-griottes-sucrees.php
Si vous réussissez à avoir des fruits de ce cerisier, il vaudrait mieux vous munir d'un léger filet afin de préserver votre récolte puisque nos amis les oiseaux en raffolent... dépêchez-vous si vous voulez y goûter...

Bonne journée!

mercredi 7 septembre 2011

Gaillarde orange et citron

Cette vivace robuste porte une floraison lumineuse. Chaque pétale est coloré d'orange et de jaune. Cette plante facile d'entretien est exempte de maladies. On l'utilise aussi bien en massifs qu'en pots.

Nom latin : Gaillardia 'Oranges and Lemons'
Utilisation : Bordure, Contenant, Plate-bande, Rocaille
Espacement : 50 à 70 cm
Zone climatique : ZONE 3
Ensoleillement : 4
Soleil, Mi-ombre
Couleur de floraison : Orange
Période de floraison : Juillet, Août, Septembre
Sol : Moyennement riche, frais et drainé.



 Les gaillardes (genre Gaillardia) sont connues pour leur longue floraison; les cultivars anciens s’épuisaient littéralement à force de fleurir. Plusieurs nouveaux cultivars ont conservé la capacité de fleurir très longtemps tout en y survivant mieux. Parmi eux, la gaillarde «Oranges and Lemons» (Gaillardia grandiflora «Oranges and Lemons») est mise à l’essai depuis deux ans dans notre jardin; sa floraison est non seulement abondante, mais aussi continue de juin à octobre.

La plante, rustique (zone 5), atteint 30 à 40 cm (12 à 16 po) de hauteur et d’étalement; elle porte de magnifiques capitules jaune or et abricot. Ce cultivar a une bonne tolérance aux fortes chaleurs et à la sécheresse une fois qu’il est bien établi.


Sa couleur pêche attire l'attention comme ce fut d'ailleurs le cas lors de sa présentation officielle en 2004, à l'exposition florale de Chelsea, en Angleterre.

La plante atteint une soixantaine de centimètres et fleurit théoriquement plus longtemps que les autres gaillardes. Elle est aussi plus florifère (si on coupe les fleurs fanées) et les inflorescences persistent plus longtemps sur la hampe florale. Plante de plein soleil, le nouveau cultivar est aussi considéré comme résistant à la sécheresse, du moins un certain temps. Il se reproduit par boutures qui sont sujettes à des royautés.

Mais il y a un hic. Cette gaillarde est peu rustique. Par ailleurs, un producteur québécois a réussi à sauver 60% de ces spécimens au cours de l'hiver en les conservant sous des toiles géotextiles, une technique couramment utilisée en pépinière. La plante sera donc vivace avec une protection hivernale comme le conseille d'ailleurs la firme de mise en marché.



mardi 6 septembre 2011

Prière de libération personnelle


J'avais le goût de vous partager cette belle prière de libération.
Seigneur Jésus, tu nous as appelés à prendre autorité sur les esprits malins qui exercent sur nous des oppressions, des dépressions et des obsessions.

En ton nom, Seigneur Jésus, par ton Précieux Sang et par la puissance de l'Esprit Saint, je prends autorité sur les esprits de ténèbres qui pertubent mon corps, mon intelligence, ma volonté, ma mémoire, ma sensibilité et mon imagination.

Je commande par ton Nom, Seigneur Jésus, que ces esprits retournent à jamais là où ils appartiennent, qu'ils ne puisssent se liguer entre eux et que je sois libéré de leur influence néfaste.

Seigneur Jésus, je t'appartiens parce que tu m'as racheté par ta sainte Croix. Je suis ton bien et ta propriété. Délivre-moi de tout ce qui n'est pas de Toi. Que je goûte la joie de ta Présence et de ta Paix dans la liberté des enfants de Dieu.


Que Dieu vous bénisse, par le Père, le Fils et le Saint-Esprit!
Amen!

Images prises sur le net, si droit d'auteurs m'en avertir. Merci!

lundi 5 septembre 2011

Les tournesols

Le tournesol, ou grand soleil, est une grande plante annuelle, appartenant à la famille des Astéracées (Composées), dont les fleurs sont groupées en capitules de grandes dimensions. Cette plante est très cultivée pour ses graines riches en huile (environ 40 % de leur composition) alimentaire de bonne qualité. Le tournesol est, avec le colza et l'olivier, l'une des trois sources principales d'huile alimentaire en Europe.
 
Le mot « tournesol » est emprunté à l'italien girasole, « qui tourne avec le soleil ». Son nom scientifique est Helianthus annuus Il existe de nombreux noms ou expressions vernaculaires pour le désigner : grand-soleil, soleil des jardins, soleil commun, graine à perroquet, hélianthe.
C'est une grande plante annuelle, à tige très forte et peu ramifiée, pouvant atteindre jusqu'à 4 m de hauteur. Les feuilles simples, cordées (en forme de cœur), alternées, sauf à la base où elles sont parfois opposées, ont un pétiole plus ou moins long et sont rudes au toucher. Les capitules, réceptacles floraux charnus, qui ont tendance à se renverser après la floraison, peuvent atteindre 30 cm de largeur. Ils sont entourés d'un involucre à bractées ovales avec un sommet pointu. Les fleurs extérieures ligulées disposées sur un seul rang, sont généralement jaunes. Les fleurs centrales en tube sont jaune pâle ou rouge foncé chez les variétés anthocyanées. Les fruits sont des akènes surmontés par deux écailles en arête. La racine principale est pivotante.
Le tournesol est sujet à l'héliotropisme avant la floraison. Ce phénomène agit sur la croissance de la tige en fonction de l'éclairement. Il permet aux feuilles de garder tout au long de la journée une exposition optimale au soleil. Au début de la floraison, la fleur pointe définitivement dans la direction Est/Sud-Est.

À partir de la floraison, le capitule se fixe face au soleil levant. Une fois fécondé, le capitule se tourne vers le sol sous l'effet du poid des graines. Certaines variétés n'arrivent pas à bien assurer ce basculement, ce qui provoque une brulure solaire des graines et une réduction du taux de germination. Quand le tournesol est jeune, il pousse très vite au cours de la journée. Au fur et à mesure de sa croissance, il se tourne vers le soleil.
 
Le côté à l'ombre poussant plus vite que le côté qui reçoit la lumière, sa tige se courbe en fonction du mouvement du soleil, donnant l'impression que la fleur suit le soleil. Cela est lié à l'auxine contenue dans la région apicale de la plante. Cette hormone, responsable de l'élongation cellulaire chez le végétal, migre vers le côté opposé à celui exposé au soleil. Les cellules sont donc plus grandes du côté ombragé que du côté ensoleillé, la tige va donc se courber vers le soleil, donnant l'impression que la plante s'oriente vers le soleil.
C'est le symbole de plusieurs cultures, notamment des amerindiens (apaches) d'Amérique du Nord.

C'est une plante originaire d'Amérique. On a cru[Qui ?] qu'elle venait initialement de l'Ouest de l'Amérique du Nord[réf. nécessaire] (ouest du Canada et des États-Unis, centre et sud des États-Unis, nord du Mexique), mais la découverte en 2010 d'empreintes fossilisées de fleurs semblables à des astéracées, plus anciennes car datées d'environ 50 millions d'années, au nord-ouest de la Patagonie, a remis cette origine en question[1],[2].

Cultivée à l'origine par les Amérindiens, elle fut importée en Europe par les Espagnols au XVIe siècle. Sa culture se développa particulièrement en Russie. Elle est aujourd'hui largement répandue par la culture dans tous les continents.

L'huile est extraite des graines, dont la teneur dans les variétés améliorées varie de 45 à 50 %. L'huile de tournesol est appréciée pour son équilibre en acides gras : elle contient 12 % seulement d'acides gras saturés et beaucoup d'acides gras mono ou poly-insaturés, acide oléique, acide palmitique et surtout acide linoléique, qui est un acide gras essentiel. D'après les nutritionnistes, cette huile a d'excellentes qualités diététiques, par exemple pour combattre le diabète. C'est également une bonne source de vitamine E. L'huile de tournesol entre dans la composition des margarines. Elle sert aussi à la fabrication de savons et de cierges. On l'utilise souvent pour mettre comme huile dans les pâtes, ou d'autres aliments...

On consomme aussi les graines torréfiées, notamment autour du bassin méditerranéen où on les connait sous le nom de pipas ou pipasol en Espagne.

L'huile de tournesol, comme l'huile de colza, peut être utilisée directement comme agrocarburant dans les moteurs diesel, ou après estérification en ester méthylique.
Outre les oiseaux très friands de ses graines, notamment le moineau domestique, le verdier et la linotte, ainsi que la mésange, les autres ravageurs notables sont la limace grise, la tipule des prairies (Tipula paludosa) et le thrips du tabac (Thrips tabaci) qui attaquent les jeunes plants, et le puceron vert du prunier (Brachycaudus helichrysi) qui attaque les feuilles.

La récolte mondiale de graines de tournesol s'est élevée en 2003 à 26,1 millions de tonnes. (Source FAO)

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tournesol


Quoi qu'il en soit, c'est une que je trouve ravissante et qui me donne beaucoup de plaisir puisque je suis ornithologue et je nourris les oiseaux avec ce genre de graine, les oiseaux en raffolent...

Bonne journée!