samedi 12 mars 2011

Oeillet de poète

L'œillet de poète (Dianthus barbatus), ou œillet barbu, est une plante du genre Dianthus , de la famille des Caryophyllaceae. C'est une plante vivace herbacée a vie brève , cultivée comme bisannuelle.
Les tiges, de 20 à 35 cm de hauteur portent de longues feuilles a extrèmitée pointue avec, au sommet, un gros bouquet formé par de nombreuses petites fleurs réunies en corymbe. Ces fleurs parfumées , sont simples ou doubles selon les variétés, rarement de couleur unie, le plus souvent striées, panachées ou en cibles avec des coloris allant du blanc au violet-noir. Les « pourpre et blanc », « rose et rouge » sont spécifiques à l'œillet de poète.

Cette espèce est originaire d'Europe et d'Asie tempérée.

Semer d'avril à juin puis repiquer et mettre en place à l'automne pour une floraison l'année suivante . Sur les plantes ainsi obtenue , récupérer les graines contenue dans les capsules . Le semis direct est possible . Multiplier par bouturage de juillet a aout afin de garder les caractéristiques de la plante ou variétés.

S'utilise en bordures, plates-bandes, potées, ou en fleurs à couper pour bouquets.

Chose étrange, cette plante n'est pas reconnue indigène au Québec.

 

 Dianthus barbatus... finalement, j'ai des fleurs dans mon jardin dont je ne connaissais pas la famille mais qui me plaisent par leurs apparences et qui sont de la famille des Caryophyllaceae. Il faut croire que l'aspect de ces fleurs m'attirent puisque j'ai une vaste variété dans mon jardin. 


J'adore ces fleurs. Bonne journée!

vendredi 11 mars 2011

Vaches Highland (race bovine)

 La highland est une race bovine écossaise originaire de la région des Highlands. Elle se caractérise par une robe brun-rouge aux poils longs et par une paire de longues cornes dressées en l'air. Cette race rustique peut pâturer des zones de landes ou marécageuses mieux que tout autre race, et elle est parfois utilisée pour entretenir ce type de paysage. Elle fournit par ailleurs une viande persillée de bonne qualité gustative.

Elle est originaire du nord de l'Écosse (région des Highlands que l'on peut traduire en "hautes terres"). Elle aurait une parenté avec les ancestrales races britanniques blanches, comme la chillingham ou la white park[1]. AU XVIIIe siècle, il existait des vaches blanches nommées highlander et du bétail noir peuplait l'écosse. À l'origine, il existait deux races distinctes, l'une plus petite, à la robe noire vivait dans les îles de la côte nord-ouest de l'Écosse, l'autre un peu plus grande, à la robe brun rouge vivant dans les Highlands, qui furent ensuite fusionnées. Son livre généalogique unique date de 1884.
La race a été exportée dès la fin du XIXe siècle aux États-Unis et au Canada, où elle contribua à améliorer le bétail sous l'angle de la rusticité. On la retrouve dans de nombreux pays, notamment en Alaska et en Scandinavie. Sa robe est en général uniformément rouge brun ; d'autres couleurs sont admises : noir, bringé (poils noirs et rouges mélangés), gris louvet, crème, blanc argenté. Les poils très longs, jusqu'à 35 cm de long, forment un manteau fourni et épais, doublé de poils courts formant le duvet. Une frange de longs poils recouvre la tête et protège les yeux. Les cornes, longues, sont dressées en l'air chez la vache, orientées vers l'avant et légèrement vers le bas chez le taureau. Malgré ces cornes impressionnantes, ce sont des animaux tranquilles et très dociles.


C'est une race de petit format, les femelles ont une hauteur au garrot de 1,10 m et les mâles de 1,30 m ; le poids moyen est respectivement de 450 et 650 kg. 
C'est une race classée aujourd'hui parmi les races bouchères, mais des textes évoquent des fromages confectionnés l'été avec un lait très riche en matière grasse. Sa saveur devait aussi beaucoup aux herbages des "hautes terres". La highland est très appréciée pour sa viande persillée, dont la saveur est remarquable et qui est riche en protéines avec un très faible taux de cholestérol. Elle amasse du gras sous la peau, moyen de lutte contre le froid, ce qui rend le dégraissage de la viande aisé. Cette race est souvent élevée en croisement avec la shorthorn pour améliorer sa conformation bouchère et sa précocité.


Autrefois, les animaux étaient élevés l'hiver à l'étable, au foin, puis mis l'été aux pâturages dans les zones de montagne ou les îles. Des textes anciens [1] évoquent la traversée des bras de mer pour y conduire les vaches. Les bêtes destinées à la consommation étaient engraissées avec les résidus des distilleries de whisky.

Cette race très ancienne s'est façonnée dans une région de climat très rude. Elle est très rustique, demandant peu de soins, capable de vivre dans les conditions les plus dures : froid, neige, marais... qui s'adapte aussi aux climats plus chauds. Elle est capable d'exploiter des pâturages pauvres dans des paysages de landes. Elle peut consommer une grande variété de végétaux de type arbustifs, ce qui en fait une excellente débroussailleuse. Elle est la seule vache capable de vivre dans cette région où la seule concurrence vient des moutons.

Elle a une remarquable longévité, les vaches pouvant vêler jusqu'à 20 ans et plus.

La Highland, comme d'autres races rustiques sait se protéger des chaleurs en se mettant à l'ombre ou en se baignant

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Highland_(race_bovine)

Voyez l'excellent reportage sur la vache Highland à Radio-Canada :


Bonne journée!

jeudi 10 mars 2011

Raton laveur

 Le raton laveur, ou plus exactement le raton laveur commun (Procyon lotor, Linnaeus 1758), est une espèce de mammifère omnivore originaire d’Amérique et réintroduit en Europe dans les années 1930 après sa disparition, un siècle plus tôt. Il doit son nom à son habitude, plus ou moins réelle, de tremper ses aliments dans l’eau avant de les manger. L’animal, de la famille des procyonidae, est essentiellement nocturne et grimpe facilement aux arbres grâce à ses doigts agiles et à ses griffes acérées. Il a le pelage poivre et sel avec de légères teintes de roux. Le raton laveur s’adapte à de nombreux milieux naturels. Opportuniste et facile à apprivoiser, il s’aventure également dans les villes nord-américaines (Canada, États-Unis d'Amérique). Son comportement varie selon le sexe et la région où il vit. Il est toujours chassé pour sa fourrure mais ne constitue pas une espèce en danger ni même menacée. Le visage blanc porte de larges taches noires autour des yeux en forme de masque et une bande noire sur le nez. Quelques individus sont blancs, mais l’albinisme est très rare[9]. La mue débute au printemps et peut s’étaler sur trois mois. Le pelage estival du raton laveur est court. La tête est large, le museau pointu, les yeux noirs et les oreilles courtes (4 à 6 cm[1]). L’animal possède de longues canines comme tous les carnivores. Les pattes sont dotées de cinq doigts munis de griffes non rétractibles. Les pieds mesurent entre 100 et 125 mm. La queue du raton laveur est généralement longue de 20 à 28 cm[5] et peut mesurer jusqu’à 40 cm[8]. Elle compte 5 à 7 anneaux bruns ou noirs[2],[6] et son extrémité est toujours noire.




Le raton laveur adulte mesure 80 cm en moyenne[1] avec des variations entre 60 cm et 105 cm selon les individus, queue comprise[2]. Les mâles sont plus grands et plus lourds que les femelles.

La masse du raton laveur est comprise entre 3,9 et 9 kg en moyenne[3]. Les individus les plus gros vivent dans les régions septentrionales (8,5 kg en moyenne au Canada[4]) ; record jusqu’à 28 kg[4],[5],[6],[7]. Le poids fluctue selon la saison, atteignant un maximum à l’automne : sa masse peut alors augmenter de 50 % dans les régions situées au nord[8].

Le raton laveur fréquente la forêt mixte, la forêt de feuillus et les régions agricoles. On le retrouve en bordure des forêts, le long des cours d’eau et dans les marécages sous presque toutes les latitudes de l’Amérique du Nord. Il peut aussi vivre dans les parcs urbains et les banlieues.

Le territoire du raton laveur varie entre 1 et 50 km2 en fonction des densités humaines[1]. La femelle ne défend pas son territoire. La densité moyenne est de 4 à 20 individus par km2 sur les terres cultivées et jusqu’à 100 par km2 en ville[16]. Le domaine vital d’un mâle compte entre 2 à 12 femelles en période de reproduction[2]. Omnivore, le raton laveur a un régime alimentaire varié mais préfère néanmoins les invertébrés[2], les insectes, les vers et les larves. Étant protégé des piqûres par son épaisse fourrure, il s’attaque aussi aux nids d’insectes[1].

Il mange de petits animaux aquatiques : palourdes d’eau douce, moules, écrevisses, poissons, grenouilles, tortues[1], amphibiens et huîtres[20]. Il s’alimente aussi de petits mammifères (rats musqués, mulots). Il peut aussi s'attaquer aux poules. En été et en automne, il privilégie le maïs, les fruits, les baies, les glands et les noix. Dans les villes, il fouille dans les poubelles qu’il ouvre aisément avec ses doigts agiles. Il lui arrive de manger des charognes[21].

La croyance populaire selon laquelle le raton laveur lave sa nourriture avant de la consommer vient du fait qu’il se nourrit généralement de petits animaux aquatiques et frotte souvent sa nourriture entre ses mains comme pour la pétrir. Ainsi, des amas de coquilles de palourdes sur la rive d’un cours d’eau ou de tiges rompues dans les champs de maïs sont des signes de sa présence.

Le raton laveur s’abrite dans les arbres creux, les souches, les cavernes, les terriers de marmottes abandonnés, les granges ou les hangars. Il change souvent d’abri. Vers mi-novembre, l’animal se réfugie dans son gîte et y passe l’hiver en état de torpeur, ne se réveillant que de temps à autre. Comme l’ours noir, il cesse de manger et survit grâce à ses réserves de graisse accumulées pendant l’été. Contrairement à ce qu’on a longtemps cru, la température de son corps et son métabolisme demeurent élevés. Les mâles sortent de leur gîte fin janvier, les femelles vers mi-mars.

En ville, on peut trouver l’animal dans les greniers, les égouts et les cheminées auxquels il accède grâce à ses griffes qui lui permettent de grimper facilement à plusieurs mètres du sol. Chaque gîte abrite entre un et cinq individus[1].
Le principal prédateur du raton laveur est l’homme. Autrefois recherché par l’homme pour sa fourrure, le raton laveur est toujours la proie de la martre d’Amérique, du lynx roux, du puma, du coyote, du loup gris, du renard roux mais aussi du chien domestique. Le grand-duc d’Amérique capture parfois des petits. Il est attaqué par les alligators dans le Sud des États-Unis.

Bien que principalement chassés pour leur fourrure, les ratons laveurs ont également été longtemps une source de nourriture importante pour les Amérindiens et les Américains[23] et le raton laveur au barbecue était un plat traditionnel dans les fermes américaines[24]. C'était souvent un repas de fête. Les esclaves américains mangeaient du raton laveur à Noël[25], mais ce n'était pas forcément un plat de pauvres ou de paysans; Dans le quotidien The Golden Era de San Francisco du 21 décembre 1856, le raton laveur figure parmi les spécialités conseillées pour les fêtes et le raton laveur Rebecca reçu par le président américain Calvin Coolidge lui avait été envoyé initialement pour être servi au dîner de Thanksgiving de la Maison Blanche[26],[27]. La première édition de The Joy of Cooking, publiée en 1931, contenait une recette pour la préparation du raton laveur avec de l’écureuil et de l’opossum. Elle suggèrait d’enlever les glandes de musc et la graisse avant de faire rôtir l’animal et de l’accompagner avec des patates douces..

Parce que les ratons laveurs sont généralement considérés comme attachants, mignons, et/ou porteur de vermine, beaucoup de consommateurs ordinaires ont une peur répulsive d'en manger[28],[29]. Cependant, plusieurs milliers de ratons laveurs sont encore consommés chaque année aux États-Unis[30],[31].
Chaque année, 2 à 4 millions d’individus sont tués[1] par les automobilistes ou les chasseurs. Le raton laveur est perçu comme une menace pour les agriculteurs lorsqu’il s’attaque aux vergers, aux œufs, aux champs de maïs, aux greniers ou aux ruches[21]. En Suisse, il est chassé et jugé indésirable pour l’équilibre naturel[17].

Dans les premières décennies après sa découverte par les membres de l'expédition de Christophe Colomb, qui a été la première personne à laisser une trace écrite sur l'espèce, les taxonomistes ont pensé que le raton laveur était apparenté à de nombreuses espèces différentes, comme les chiens, les chats, les blaireaux et plus particulièrement les ours[36]. En 1780, Gottlieb Konrad Christian Storr a placé le raton laveur dans son propre genre -Procyon- qui peut se traduire soit par « avant le chien » ou « qui ressemble au chien »[38]. Il est également possible que Storr ait eu son mode de vie nocturne à l'esprit et ait choisi l'étoile Procyon comme éponyme pour le genre[39]. L'épithète spécifique du raton laveur est lotor, lotor signifiant « laveur » en latin.
Les ancêtres du raton laveur commun ont quitté les zones tropicales et subtropicales et migré vers le nord il y a environ 4 millions d'années, une migration qui a été confirmée par la découverte de fossiles dans les Grandes Plaines datant du milieu du Pliocène[45].
Le nom que l'on donne souvent au raton laveur est le Raccoon qui vient du mot anglais, « raton laveur » se traduit par le mot raccoon, lui-même issu de l’algonquin aroughcoune »[34], qui signifie « celui qui gratte avec ses mains »[17.



mercredi 9 mars 2011

Louange - Toi seul es Digne



Pour prier, c'est simple, il suffit de chanter puisque chanter, c'est prier deux fois.

Bonne journée!

mardi 8 mars 2011

Grand chevalier

Le Grand Chevalier (Tringa melanoleuca) est une espèce de limicole appartenant à la famille des Scolopacidae. Il est aussi parfois appelé Chevalier criard[1]. « Chevalier » est un nom générique qui désigne différentes espèces d'échassiers de la famille des Scolopacidae. Globalement plus grands que les bécasseaux et plus petits que les courlis ou les barges, on les retrouve dans les zones marécageuses ou les estuaires, souvent marchant en bordure de l'eau à la recherche de nourriture (petits crustacés principalement). Les différentes espèces sont parfois difficiles à identifier.  Le grand chevalier est un limicole svelte, gris, dos carrelé en gris, noir et blanc. En vol, croupion et queue blanchâtres, les ailes sans bande paraissant sombres. Bec long, à peine retroussé, pâle à la base.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Chevalier et http://fr.wikipedia.org/wiki/Chevalier_(oiseau)
              Les oiseaux du Québec et de l'est de l'Amérique du nord, Éditions Broquet, éditions revisées en 
              2003, page 148.

Le Grand Chevalier possède aussi une autre nom : le Chevalier à pattes jaunes.

Avant, on le chassait beaucoup. Maintenant il y a une loi qui l'interdit. Ce n'est pas une espèce menacée, mais on le protège tout de même.

C'est un animal très peureux qui s'enfuit au moindre bruit. On ne connaît pas vraiment ses ennemis car c'est un animal difficile à approcher. On ne connaît pas non plus sa durée de vie.

Cette espèce d'oiseau est souvent solitaire mais, il a un tempérament grégaire.

http://educ.csmv.qc.ca/mgrparent/vieanimale/ois/chevalier/Granchev.htm

Le grand chevalier est plus gros qu'un pigeon biset, mais plus petit qu'une corneille. Ses longues pattes et ses pieds jaune vif en sont la caractéristique la plus remarquable. Le grand chevalier se nourrit de menés et d'insectes aquatiques en eau peu profonde. En guise de nid, il s'approprie un trou dans le sol, bien camouflé, dont il tapisse le fond avec des herbes, de la mousse ou d'autres végétaux. La femelle pond habituellement quatre oeufs de couleur fauve, parsemés de points et de taches brun foncé. Le mâle et la femelle s'occupent tous les deux des oisillons.

Habituellement, le grand chevalier niche dans la toundra des régions nordiques du Canada, mais la taïga du parc national des Hautes-Terres-du-Cap-Breton présente les mêmes caractéristiques d'habitat. Comme le grand chevalier est un résident du parc, vous le verrez l'été près des lacs et des étangs des hautes-terres. Le printemps, on le rencontre aussi dans les basses terres, avant qu'il s'envole vers sa toundra de prédilection.

Source : http://www.pc.gc.ca/fra/pn-np/ns/cbreton/natcul/natcul1/c/ii/b.aspx
Chez le Grand chevalier lors de la mue, en août et en septembre, des primaires (plumes) ne sont pas encore renouvellées. Le Petit chevalier mue plus tard, après la migration.

Le Petit et le Grand chevalier se distinguent par le bec relativement plus long chez le Grand chevalier, chez le Petit chevalier, le bec est à peu près de la même longueur que sa tête.


dimanche 6 mars 2011

Faucon émerilllon


Le Faucon émerillon (Falco columbarius), aussi appelé Faucon Merlin (du latin Falco, onis, falx, faulx, celui dont les ongles sont en forme de faux) est une espèce de petit rapace diurne compact et actif des milieux ouverts. Le bec est court et recourbé dès la base. Petit oiseau de proie difficile à identifier. Il traque ses proies en volant à faible hauteur. Il reste longtemps à l'affût posé sur un perchoir bas ou une motte de terre.

Ce rapace a une longueur de 24 à 33 cm, ainsi qu’une envergure de 50 à 67 cm. Comparé aux autres petits faucons, il est plus robuste. Les mâles pèsent environ 165 g et les femelles 230 g. Il y a toutefois des variations considérables, dans toute la gamme des oiseaux, en particulier dans les populations migratrices, tout au long de l’année. Ainsi, les mâles adultes peuvent peser 150 à 210 g, et les femelles 190 à 255 g. Ce dimorphisme sexuel est typique des rapaces, leur permettant de chasser différentes proies et réduisant la taille du territoire nécessaire pour nourrir le couple et sa progéniture.

Le mâle a le dos gris-bleu, la femelle gris-roux. Il hiverne dans les marais, les estuaires, le long du littoral et dans les pleines agricoles. Le faucon émerillon mâle se reconnaît à ses fines moustaches peu marquées, à ses parties supérieures gris-bleu, un peu comme le mâle d'épervier d'Europe et à sa poitrine et son ventre roux. Sa silhouette en vol est typique, petite et compacte avec des ailes courtes extrêmement pointues, ce qui permet de le distinguer de l'épervier aux ailes toujours plus ou moins arrondies. Par contre, la femelle possède une coloration brun terne par dessus ce qui constrate avec les tons plus clairs et fortement marqués de brun des  parties inférieures. Le faucon émerillon se nourrit presqu'exclusivement de petits passereaux qu'il capture après une poursuite horizontale très rapide. Mais il lui arrive occasionnellement de chasser des insectes et des petits mammifères.


Cet oiseau construit son nid dans un arbre, un buisson ou dans un trou creusé dans le sol. Il peut aussi utiliser un nid de corbeau ou de corneille, un trou d'arbre ou une cavité de falaise.

Le mâle atteint la maturité sexuelle à 2 ans, la femelle à 1 an. L'accouplement a lieu entre avril et juin. Une ponte est effectuée par an. Elle comprend 2 à 7 œufs mais en général 5 ou 6. L'incubation dure 28 à 32 jours. Les jeunes s'envolent 25 à 30 jours après leur naissance.

Les menaces principales pour l'espèce sont la disparition des habitats, les pesticides organochlorés utilisés en l'agriculture et les dérangements de l'homme. Dans quelques cas, les prélèvements d'oeufs et de jeunes.


Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Faucon_%C3%A9merillon
et http://www.oiseaux.net/oiseaux/faucon.emerillon.html

et Bonne journée!