samedi 19 février 2011

Vis ta vie avec les frères Tadros

 
image prise sur le net, si droit d'auteur, m'en aviser. lisedaigle5@cablezach.com
 
 

Une belle chanson qui ouvre nos coeurs vers ce que Dieu veut pour nous. C'est à dire vivre sa vie avec ce qu'on a de plus beau et de plus grand, avec nos joies et nos peurs. Et comme ils le disent si bien dans leurs chanson, "nos plus grands rêves, sont nos plus grandes peurs."  Alors, "n'ayez pas peur" , comme le disait si bien Jean Paul II lors des Journées Mondiales de la Jeunesse en 2002 à Toronto, Vous êtes le sel de la terre, la lumière du monde....

Rayonnez de joies...


Bonne journée!

vendredi 18 février 2011

Quiz de la semaine, quelle est cette fleur ou est-ce que je peux dire que c'est une plante?

Voici une fleur ou une plante que je ne connais pas. J'aimerais savoir si quelqu'un la connais.



Je la retrouve à chaque année dans mon jardin, mais je ne sais pas le nom.

Pouvez-vous m'aider à l'identifier? J'en serais très ravie de pouvoir mettre un nom sur cette merveille.



jeudi 17 février 2011

Pigeons biset

Le Pigeon biset (Columba livia) est l'espèce qui comprend le pigeon domestique et la plupart des pigeons des villes[1] mais qui subsiste également comme oiseau sauvage dans son milieu naturel original : les falaises et autres milieux rocheux. Le type domestique est différent du type sauvage.
C'est un oiseau de la famille des Columbidés. L'espèce (Columba livia) a donné naissance à de nombreuses races élevées pour la chair, l'ornement ou la course (pigeon voyageur).

 Le pigeon est domestiqué depuis la préhistoire. Les colombiers de l'époque romaine, cités par Pline l'Ancien dans son Histoire Naturelle ont pour l'essentiel disparu, mais les colombiers européens construits du Moyen Âge au XIXe siècle constituent encore à eux seuls un patrimoine architectural, d'une variété de formes et de décorations qui n'a pas d'équivalent pour les basse-cours ou autres bâtiments d'élevage, hormis les écuries.


Le pigeon a en effet connu d'importantes fonctions commerciales et militaires, jouant jusqu'en 1918 un rôle important, voire essentiel pour la transmission des messages stratégiques. Il semble d'ailleurs que les Chinois, les Égyptiens, les Perses, et les Grecs aient très tôt appris à profiter de l'instinct remarquable qui ramène au pigeonnier le pigeon domestiqué. Les pigeons voyageurs sont ainsi devenus vecteurs et porteurs d'importants messages qui ont changé le cours de campagnes militaires, d'histoires d'amour ou du pouvoir et des complots. Ils ont aussi été utilisés pour le commerce et pour la spéculation financière. Ils se nourrissent essentiellement de graines, de fruits et plus rarement de quelques insectes.


Des esclaves ou serviteurs, puis des soldats spécialisés ont été affectés à l'élevage, aux soins et au transport des pigeons messagers. Pour abriter et élever ses pigeons, l'empire romain a construit de nombreux et énormes pigeonniers pouvant abriter 4 000 à 5 000 pigeons chacun. Les messages pouvaient être codés, ou c'est simplement le pigeon qui pouvait porter un objet (ruban coloré) ou être lui-même teint pour annoncer une nouvelle.
Les croisés ont voyagé avec un véritable service rapide, aéropostal avant l'heure, assuré par des pigeons. Les pirates et corsaires en auraient utilisé.

Une difficulté du système est qu'il faut posséder des pigeons élevés dans le pigeonnier du destinataire. Il peut également arriver que le pigeon meure en route, éventuellement sous les serres du faucon dressé à la chasse, c'est pourquoi les messages importants étaient envoyés en plusieurs copies par différents pigeons.


Après les pigeons de la guerre de 1870, le pigeon de 1914-1918 a encore joué une fonction importante, mais qui s'est presque éteinte avec le développement des transmissions par voie électrique (télégraphe, téléphone) puis hertziennes ou mixtes, liées au réseau Internet ou au téléphone portable. Néanmoins on peut citer le « Project Pigeon » (Projet Pigeon) qui lors de la Seconde Guerre mondiale, était destiné à utiliser des pigeons dressés pour guider un missile. De nombreuses armées entretiennent toujours un petit nombre de pigeons voyageurs, qui servent aussi parfois au sauvetage (en mer par exemple).



Les pigeons bisets nichent dans des cavités de bâtiments. Leurs populations sont issues principalement sinon exclusivement d'animaux d'élevage ayant échappé au contrôle de l'homme (phénomène de marronnage). Ceci est mis en évidence par leurs phénotypes variés qui reflètent fréquemment des caractères sélectionnés chez certaines races domestiques (coloris blanc, roux, pigeon cravaté…). Certains sujets montrent cependant un phénotype tout à fait sauvage.



Les autres espèces sont issues de populations sauvages qui ont colonisé le milieu urbain.

Le pigeon ramier est de plus grande taille et niche dans les arbres des parcs et jardins.

Source :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Pigeon_biset


Le Pigeon biset fut introduit en Amérique du Nord au début du 17e siècle comme espèce domestique. Depuis, l’espèce est devenue sauvage et s’est répandue dans le sud du Canada et partout aux États-Unis. C’est un oiseau grégaire et nicheur sédentaire au Québec. Il construit son nid sur des structures tels les édifices, les ponts et les viaducs. Il nourrit ses petits de « lait de pigeon » et peut se reproduire à longueur d’année (Bezener, 2000). Il s’alimente surtout de graines mais ne dédaigne pas le pain, le maïs soufflé et les frites en milieu urbain.

Le Pigeon biset habite les grandes villes et les banlieues, et fréquente la proximité des bâtiments de ferme tels les granges et les silos à grain. Il affectionne les milieux ouverts pour se nourrir. Il peut aussi bien construire son nid dans des crevasses, des plates-formes et des cavités de rochers ou autres structures. Il niche à l’occasion dans les cavités des arbres. Il semble qu’une surface horizontale et protégée soit l’unique condition pour l’emplacement propice du nid (Johnston, 1992). Le nid peut être situé à même le sol jusqu’à une hauteur de plus de 30 m.

Le Pigeon biset est monogame et s’accouple pour la vie.La femelle pond habituellement deux oeufs, qu’elle incube pour une période moyenne de 18,5 jours. Les deux parents se partagent l’incubation, le mâle restant au nid du milieu du matin jusqu’à la fin de l’après-midi et la femelle de la fin de l’après-midi jusqu’au matin.
 
LesPpigeons biset peuvent être utiles, sinon essentielles, pour estimer le risque écotoxicologique lié à leur présence dans un site contaminé ou à proximité d’un tel lieu.
 

Bonne journée!



mercredi 16 février 2011

dimanche 13 février 2011

Bruants des prés

Le Bruant des prés (Passerculus sandwichensis) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Emberizidae. Il est monotypique dans son genre.


Il mesure environ 14 cm et il vit en Amérique du Nord.


Cet oiseau fréquente les milieux ouverts à végétation dense mais assez rase, en particulier les prairies sèches, les zones herbeuses, les pelouses alpines et la toundra.



Les Bruants des prés mâle et femelle possèdent un plumage identique. Le mâle est légèrement plus gros que la femelle. Il y a une très grande variabilité dans la taille de ces oiseaux; ceux provenant des régions insulaires (incluant les îles de la Madeleine) sont généralement plus gros que ceux qui habitent la terre ferme. De plus, les espèces de l’est et du nord de l’Amérique du Nord sont de plus grande taille que les espèces du reste du continent.

Le Bruant des prés accumule des réserves lipidiques pendant la migration. Le Bruant des prés, particulièrement la femelle, est de nature discrète. Il se cache dans la végétation dense et se déplace au sol comme le font certains petits rongeurs.

 

Durant la saison de reproduction, le Bruant des prés adulte se nourrit principalement de larves et d’insectes adultes, incluant des coléoptères, des hyménoptères, des diptères, des hémiptères, des homoptères, des lépidoptères (principalement des larves), des orthoptères et des odonates (principalement des larves). Les petites araignées, les mille-pattes, les crustacés, les escargots et les larves d’insectes aquatiques font également partie de son alimentation. Lors des migrations et dans les aires d’hivernage, les graines et certains petits fruits sont les aliments les plus souvent consommés.  Le Bruant des prés chasse les insectes en marchant au sol, scrutant la base des herbes et des plantes. À l’occasion, il peut racler l’humus avec ses pattes pour attraper des proies cachées. Généralement, les proies sont dévorées entières. Les graines sont récoltées principalement au sol lorsqu’elles tombent des herbes. 

Les deux parents rapportent la nourriture aux oisillons. Les adultes semblent combler leur besoin en eau avec l’ingestion de proies et de gouttes de rosée. En général, au Québec, le Bruant des prés mâle arrive au site de reproduction de 1 à 3 semaines avant la femelle, soit vers la fin d’avril ou le début de mai.
Au Québec, 9,8 % des Bruants des prés produisent une deuxième couvée.

La femelle pond en moyenne 4 oeufs (de 2 à 6 oeufs) qu’elle incube pour une période de 12 jours.

Pour distinguer le bruant des prés des autres bruants, remarquez un sourcis jaunâtre et une raie blanchâtre au milieu de la calotte, sa queue est courte et encochée et les pattes sont plus roses.

Bonne journée!