Pour finir l'année 2010 et pour commencer la cette nouvelle année, je voudrais vous partager un vidéo de Robert Lebel. Espérant que vous pourrez changer le monde un peu plus chaque jour durant l'Année 2011.
Bienvenue sur le blogue à Zonzon! Mon nom est Lise Daigle, je suis maintenant déménagée dans la Ville de Saint-Georges. J'aime la photographie d'oiseaux, les balades dans la nature, je suis catholique et fière de l'être. J'aime lire des livres religieux, collectionner les images saintes, écrire des chants de louange, travailler le cuir ciselé. Bonne journée!
vendredi 31 décembre 2010
jeudi 30 décembre 2010
Diaporama d'oiseaux partie 2
Pour voir le diaporama que j'ai monté.
Cliquez sur : Diaporama d'oiseau partie 2 ci-haut, ou sur l'image en bas qui a un lien.
Ensuite, lorsque vous serez dans la page de Google Docs.
Cliquez sur Download (10 Mo).
Dans la boîte de dialogue de Google Docs, cliquez sur Ouvrir ou sur Enregister pour visionner ou enregistrer le fichier.
Cliquez sur : Diaporama d'oiseau partie 2 ci-haut, ou sur l'image en bas qui a un lien.
Ensuite, lorsque vous serez dans la page de Google Docs.
Cliquez sur Download (10 Mo).
Dans la boîte de dialogue de Google Docs, cliquez sur Ouvrir ou sur Enregister pour visionner ou enregistrer le fichier.
Ainsi, vous aurez le diaporama au complet et c'est mieux pour le entendre le son et voir les effets des présentations PowerPoint.
lundi 27 décembre 2010
Paruline à croupion jaune
La Paruline à croupion jaune (Dendroica coronata) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Parulidae.
Ce passereau se trouve en Amérique du Nord, en Amérique centrale et au nord de l'Amérique du Sud.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Paruline_%C3%A0_croupion_jaune
La Paruline à croupion jaune est à peine plus petite que le moineau. Sa longueur totale varie entre 12,0 cm et 15,5 cm, en incluant la queue de
5,5 cm à 5,9 cm. Son poids oscille en moyenne autour de 12 à 13 g.
5,5 cm à 5,9 cm. Son poids oscille en moyenne autour de 12 à 13 g.
Le plumage nuptial du mâle est principalement gris-bleu rayé de noir sur le dessus et blanc dessous. Une tache jaune vif marque le dessus de la tête, le devant de chacune des ailes et le croupion. Du noir dessine un masque sur les yeux, et un "U" inversé sur la poitrine. Le bec effilé et pointu de cette paruline est noir. Les pattes sont noirâtres. La livrée de la femelle est semblable mais gris-brun plutôt que gris-bleu. Le masque est aussi plus terne.
En Amérique du Nord, la Paruline à croupion jaune niche, grosso modo, de l'Alaska et du Labrador jusqu'au nord-est des États-Unis et au Guatemala, ce qui inclut les provinces canadiennes. Au Québec, elle nidifie dans toutes les régions depuis le sud jusqu'à la limite des arbres, sauf dans l'Ungava.
Étant plutôt boréale, la Paruline à croupion jaune préfère les forêts conifériennes ou mixtes parvenues à maturité ou encore, celles d'âge moyen, surtout si les épinettes, le sapin baumier ou le mélèze laricin y croissent bien. On l'y retrouve principalement dans les secteurs clairsemés ou près des lisières. Elle fréquente aussi les plantations de conifères.
Pendant la période de nidification, la Paruline à croupion jaune se nourrit d'abondantes quantités d'insectes, dont la tordeuse des bourgeons de l'épinette. En période d'hivernage, son régime se compose surtout de graines et de petit fruits, tels ceux des genévriers, des viornes, des sumacs et des myriques.
Le nid volumineux et profond de la Paruline à croupion jaune est généralement construit dans un conifère, à une hauteur variant le plus souvent de 2 à 6 m du sol. Il est fait de brindilles, de morceaux d'écorce, de touffes de mousse et de lichen, et d'autres matières végétales grossièrement tissées. La femelle en tapisse l'intérieur avec des plumes, de façon à ce que leurs bouts soient recourbés au-dessus des oeufs et puissent les protéger même lorsqu'elle s'absente du nid.
La ponte débute vers la troisième semaine de mai et produit généralement de 3 ou 4 oeufs blancs marqués d'éclaboussures et de points bruns. L'incubation, d'une durée de 11 à 13 jours, est presqu'entièrement assurée par la femelle, le mâle ne prenant place sur le nid que très occasionnellement.
Au cours de la journée suivant l'éclosion, la femelle couve régulièrement ses oisillons. Par la suite, elle délaisse de plus en plus cette activité pour pouvoir contribuer, comme le mâle, à l'alimentation de ses petits. Ceux-ci quittent le nid à l'âge de 12 à 14 jours. Ils sont en mesure de voler 2 ou 3 jours plus tard. À un an, ils peuvent se reproduire.
Parmi les 27 espèces de parulines nichant au Québec, la Paruline à croupion jaune est la première à nous arriver au printemps et la dernière à nous quitter à l'automne. Les mâles commencent à apparaître vers la fin d'avril et sont suivis par les femelles quelques jours plus tard.
Pour défendre leur territoire, les mâles se montrent très loquaces. Leur chant typique rappelle le bruit d'une petite chaîne qu'on agite, devenant tantôt plus aigu, tantôt plus grave. Il comporte toutefois des variations saisonnières, voire même journalières.
La Paruline à croupion jaune traverse souvent son territoire d'un bout à l'autre, tandis qu'elle s'alimente. Elle vole alors d'arbre en arbre, préférant généralement les zones inférieures.
La longévité record enregistrée pour l'espèce s'élève à moins de 7 ans.
La Paruline à croupion jaune est un nicheur migrateur abondant. Dans les régions nordiques du Québec, elle est l'une des parulines les plus communes et les plus largement réparties. Plus au sud, sa population a connu une augmentation en raison du reboisement en conifères.
Dès la fin d'avril, vous pouvez apercevoir la Paruline à croupion jaune dans les secteurs clairsemés des forêts de conifères et des forêts mixtes où poussent bien les épinettes, le sapin et le mélèze, ou encore près des lisières de ces types de forêts. Observez surtout la zone inférieure des arbres et tendez l'oreille; le mâle chante à toute heure du jour. De la mi-septembre à la chute complète des feuilles des arbres, la Paruline à croupion jaune peut être vue dans les petits boisés, les buissons, en bordure des champs et des routes, ou même agrippée aux murs et aux gouttières des maisons, inspectant chaque recoin en quête de nourriture.
jeudi 23 décembre 2010
mardi 21 décembre 2010
La Centorée des montagnes (Centorea montana)
La centaurée des montagnes (Centaurea montana L. ), appelée aussi bleuet vivace, bleuet des montagnes ou jacée des montagnes, est une plante herbacée vivace de la famille des Astéracées.
Cette centaurée est une plante rhizomateuse, duveteuse, plus ou moins ramifiée, aux feuilles molles, allongées, entières, aux fleurs bleues parfois pourpres en capitules avec de très longs fleurons externes, aux bractées à la base du capitule à bord brun-noir. Sa hauteur varie selon les variétée de 50 cm à 1 m. Ses fleurs contiennent des substances digestives et diurétiques. Elle fleurit de mai à août.
Elle est plus répandue et commune dans les chaînes de montagnes au sud de l'Europe, mais est plus rare dans le nord. Elle s'échappe des jardins facilement, et s'est ainsi établi dans les îles britanniques, en Scandinavie et en Amérique du Nord .
Elle pousse dans les prairies, dans la montagne, dans les jardins ou dans les endroits ensoleillés.
Par conséquent, elle peut fleurir à l'ombre de feuillus ou en pleine lumière. Elle peut aussi se régénérer à partir de petits morceaux de racine laissé dans le sol. La Centaurée des montagnes pousse bien dans les sols sablonneux, dans l'argile, dans un sol très alcalin ou des sols neutres. Elle tolère la sécheresse, mais ne peut pas tolérer des conditions saturées d'eau.
Cette plante est non comestible , mais il est très populaire en tant que plante médicinale en Europe centrale . Les feuilles de la plante sont facilement mangés par les écureuils.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Centaur%C3%A9e_des_montagnes
et http://en.wikipedia.org/wiki/Centaurea_montana
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Centaur%C3%A9e_des_montagnes
et http://en.wikipedia.org/wiki/Centaurea_montana
dimanche 19 décembre 2010
Comme Lui : Robert Lebel
Chant Comme lui de Robert Lebel
Je vous invite à visiter le site : http://www.ecdq.tv/
Je l'ai découvert dernièrement et cela m'a le goût de vous le partager puisque le prêtre Jean-Roch Hardy qui commente la Bonne nouvelle était un prêtre accompagnateur lors de la JMJ 2002 que j'ai vécue. Robert Lebel était aussi avec nous lors de cette JMJ et j'ai de très beaux souvenirs de cette aventure avec les jeunes. Ce fût une aventure catholique hors du commun puisque nous avons senti la force de l'Amour Divin.
jeudi 16 décembre 2010
mardi 14 décembre 2010
Dianthus et Dianthus star de l'est
Dianthus est un genre de plante de la famille des Caryophyllaceae. C'est le genre des œillets véritables.
Ce sont des plantes herbacées, plusieurs espèces sont utilisées comme plantes ornementales. Elles sont originaires en grande partie d'Europe, d'Asie et d'Afrique du Nord. Dianthus repens vit quant à elle en zone subarctique.
Les diahthus eastern star sont de grandes fleurs rouges avec des centres de raisin rouge ont un aspect velouté qui est mis en évidence par mèches subtiles de rose tendre sur les bords. Encore plus merveilleux, ils respirent le parfum épicé de clous de girofle. Cette fleur est plus prolifique en début de l'été, les plantes vont refleurir à l'automne si les fleurs fanées sont supprimées. Le feuillage persistant est un bleu-vert, formant des monticules compacts de 7" de haut et de large. Bien qu'ils soient décrits comme dianthus alpin, elles sont plus complexes et ont une amélioration par rapport aux espèces. Sont nom est originaire d'Amérique du Nord.
J'aime beaucoup avoir des dianthus dans mes plates bandes.
lundi 13 décembre 2010
Paruline masquée
La Paruline masquée (Geothlypis trichas) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Parulidae. Elle est présente dans toute l'Amérique du Nord.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Paruline_masqu%C3%A9e
Elle est un petit oiseau brun-olive et jaune, avec un bec court, tranchant et noir, des pattes rosâtres et une queue inhabituellement arrondie au bout. Le mâle adulte a un masque facial noir, bordé en haut et en bas d’une bande gris blanchâtre. Il est jaune vif sur la gorge et la poitrine. Il a l’abdomen blanc, ainsi que les sous caudales. La femelle adulte et beaucoup de jeunes mâles sont brun-olive sur le dessus, et jaune chamoisé dessous, avec une traînée jaune seulement sur la gorge, le milieu supérieur de la poitrine et les sous caudales.
Les flancs et les côtés de la poitrine sont brun chamoisé clair. Les jeunes n’ont pas le masque noir du mâle adulte, celui-ci n’apparaît que sur les mâles le premier hiver. Les nouveau-nés ont du duvet gris clair sur la tête, en bas du dos et sur les ailes, avec la peau orange clair. La paruline masquée se trouve dans les buissons, les fourrées humides et près des marais, des mares et des fleuves, ou sur des pâturages buissonneux, des bords de routes, des lisières de forêts, les rives des cours d'eau et de zones boisées en repousse. L’oiseau occupe le même type d’habitat lorsqu’il nidifie que lorsqu'il hiverne.
Si un intrus pénètre sur son territoire, la paruline masquée mâle crie et se cache sous le couvert dense, et réapparaît à nouveau en criant.
La paruline masquée est monogame pour une saison, mais la polygamie est assez souvent observée. Le mâle attire la femelle avec son chant, et il suit alors cette éventuelle partenaire, en paradant pour elle. Il déploie sa queue en éventail, agite ses ailes et effectue des vols de parade. La femelle cependant, n’est pas si fidèle à son partenaire, et attire souvent d’autres mâles par ses cris. La paruline masquée mange des insectes larves, comme les sauterelles, les libellules, les scarabées, les papillons et les araignées sur les feuilles ou l’écorce, dans les buissons et dans les mauvaises herbes. Elle consomme aussi parfois des semences. Comme elle passe beaucoup de temps sur le sol à la recherche de sa nourriture, il est important pour elle d’avoir un couvert végétal dense assez près pour se cacher. Les menaces qui pèsent sur l’espèce sont le parasitisme par le vacher à tête brune, et la perte de l’habitat avec le développement des zones découvertes. L’oiseau peut aussi attraper les insectes en vol.
La paruline masquée est très soigneuse avec son nid. Elle n’atterrira jamais directement dans le nid, mais se posera sur le sol et marchera jusqu’au nid.
La paruline masquée nidifie sur ou près du sol, habituellement dans une touffe d’herbes, des racines, des joncs, ou des buissons bas. Le nid est une coupe lâche faite d’herbes, de laîches, d’écorce, de fougères, de radicelles et de poils. Il est construit par la femelle.
Celle-ci dépose 3 à 5 œufs bruns tachés de noir. L’incubation dure environ 12 jours, assurée par la femelle seule, mais les deux parents s’occupent des poussins. Ceux-ci abandonnent le nid au bout de 8 à 10 jours après la naissance. Deux couvées par saison sont communes dans cette espèce.
Les prédateurs de l’espèce sont les serpents, les tortues, les ratons laveurs, les opossums, et d’autres animaux qui peuvent trouver le nid bas avec les œufs ou les poussins. Les adultes peuvent être attaqués par des rapaces.
Source : http://www.oiseaux-birds.com/fiche-paruline-masquee.html
dimanche 12 décembre 2010
La vallée des Geais bleus
Dans ce petit coin de pays, nous sommes près des frontières américaines à environ 2 milles de la frontière. Mon conjoint a nommé l'endroit "La vallée des Geais bleus". Les oiseaux sont comme dans un couloir, ils ne restent pas toujours, mais ceux-ci ont décidé d'y faire leurs nids. Ce sont les Geais bleus, ils viennent souvent seuls et en bande, mais ils dévorent tout. Ce sont de beaux oiseaux. Saviez-vous qu'ils sont de la même famille que les corneilles, ce sont des corvidaes. Ces oiseaux profitent de l'absence des parents pour manger les jeunes oisillons (comme les mésanges). Le Geais bleu sait aussi imiter le cri d'autres espèces d'oiseaux, ils peuvent même apprendre à imiter le discours humain. Lorsque le Geais bleu a trouvé le garde-manger, il lance un cri d'alarme qui alerte toute une forêt et qui fait fuir les sizerins flammés ou les chardonnerets, voire même les gros-becs errants.
jeudi 9 décembre 2010
Roselin pourpré
Le Roselin pourpré (Carpodacus purpureus) est une espèce de passereau (ordre des Passeriformes) appartenant à la famille des Fringillidae.
Cette espèce mesure de 14 à 16 cm. Le bec est de couleur corne. Le mâle présente un plumage qui va du rose framboise clair au rouge pourpré vif. Son dos rayé, sa queue encochée, ses ailes sont brunâtres.
Le plumage de la femelle est rayé de brun. Ce qui la différencie du Roselin familier, c'est un grand sourcil blanc et un large bandeau brun. Les sous-caudales[1] sont à peine rayées.
Le jeune ressemble à la femelle. Son plumage ne vient à maturité qu'après la première année.
Il se reproduit et hiverne aussi dans le nord-est des États-Unis et dans la région des Grands Lacs. Une partie des individus migre et hiverne dans tout le tiers oriental des États-Unis, sauf dans le sud de la Floride.
Cet oiseau est aussi un visiteur d'été ou un nicheur occasionnel dans tout le sud du Canada. Au Québec, selon l'Atlas des oiseaux nicheurs du Québec méridional[2], cette espèce niche dans toutes les régions du Québec méridional. Sa fréquence d'observation est élevée partout, quoiqu'elle soit un peu plus faible dans la région de Montréal et en Montérégie où les conifères sont moins nombreux. Toutefois, on ne peut pas expliquer pourquoi l'espèce est également moins fréqente sur l'île d'Anticosti.
Des oiseaux égarés ont été notés aux Bermudes (trois observations) et au large de l'île Résolution au nord de Terre-Neuve. On le retrouve dans les forêts mixtes et de conifères. On peut l'apercevoir, l'hiver, dans des parcs et jardins où poussent de nombreux arbres et arbustes.
Comme le dénote son bec conique, le Roselin pourpré est granivore. Il consomme des graines de conifères, des bourgeons, des insectes et au sol des mauvaises herbes. Lorsque la nourriture se fait rare, il se nourrit de tournesol noir, de millet ou du chardon dans des mangeoires ou sur des plateaux.
Lors de la parade nuptiale, le mâle sautille d'abord sur le sol, la poitrine bombée et les ailes pendantes et battant des ailes de plus en plus, il dresse la queue et émet un doux gazouillis avant de s'élever d'environ 30 cm droit dans les airs, les ailes vibrant comme celles d'un colibri, pour retomber aussitôt près de la femelle.
La femelle pond de 4 à 5 oeufs bleu-vert tachetés. Pendant 13 jours, elle couve seule ses oeufs et elle est nourrie par le mâle. Les petits demeurent au nid environ deux semaines, mais restent encore dépendants de leurs parents quelque temps après leur départ du nid.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Roselin_pourpr%C3%A9
Lorsque je regarde un roselin pourpré, on dirait un bruant trempé dans le jus de framboise. La différence entre le roselin pourpré et le roselin familier se retrouve surtout sur le mâle roselin pourpré qui n'a pas de raies foncées sur les flancs et sur la poitrine, il est un peu plus moins orangé aussi et plus gros que le roselin familier. Par contre, je n'ai jamais eu à mes mangeoires le roselin familier qui est un peu rare dans notre secteur comparativement au secteur de Montréal.
De plus, la femelle roselin pourpré a une large raie sombre au menton comparativement au roselin familier. Elle a aussi la joue plus foncée, une raie derrière l'oeil, le bec assez gros et la queue plus encochée que le roselin familier.
dimanche 5 décembre 2010
Quiscale bronzé
Albinisme légèrement partiel.
Ordre des Passériformes – Famille des Ictéridés
Les oiseaux adultes ont un bec grand et noir, un œil jaune, et une queue longue ; son plumage irisé se caractérise par la tête bleue et le corps de couleur bronze. Les femelles adultes sont un peu moins grandes et moins luisantes.
Ils habitent en Amérique du Nord, à l'est des Montagnes Rocheuses.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quiscale_bronz%C3%A9
QUELQUES MESURES :
L : 28-34 cm
Env : 36-46 cm
Poids : 74-142 gr
LONGEVITE : Jusqu’à 22 ans
Le quiscale bronzé a une longue queue en forme de cuillère, et un grand bec légèrement incurvé vers le bas.
L’adulte mâle est noir brillant sur tout son corps, avec un fort reflet métallique violet sur la tête et le cou, et bronze ou violet sur le reste du plumage (cela dépend de la population). Il a d’étonnants yeux jaune pâle, et une longue queue en dégradé. Les pattes sont foncées.
L’adulte femelle est plus petite que le mâle. Elle est d’un noir plus terne, spécialement sur les parties inférieures, mais elle a aussi les yeux jaune pâle. Le juvénile est plutôt brun charbonneux et il a les yeux foncés.
L’albinisme a été clairement observé dans cette espèce, mais il est habituellement partiel.
Le quiscale bronzé se reproduit dans les zones herbeuses ouvertes, les terrains cultivés, les parcs et les grands jardins, les zones boisées ouvertes, les marais et les zones résidentielles.
Le quiscale bronzé est très grégaire, même pendant la saison de reproduction. Les oiseaux qui ne sont pas en train d’incuber dorment ensemble la nuit. Les couples nicheurs nidifient isolément ou en colonies de plus de 200 couples.
Le quiscale bronzé est territorial uniquement aux abords du site du nid. Il peut attaquer les intrus en les piquant, en leur donnant des coups de bec, en les griffant et en volant vers eux. Les couples défendent ardemment leur nid en molestant, en poursuivant ou en s’abattant sur le prédateur, y compris sur les humains.
Le quiscale bronzé est en général monogame. Les couples se forment dans les groupes au début du printemps. Les vols et les parades mutuelles entre une seule femelle et plusieurs mâles le montrent. Mâle et femelle montrent leur préférence l’un pour l’autre en volant ensemble, la femelle en tête. Ensuite, le couple abandonne le groupe pour voler et chanter en duo. A partir de la formation du couple et au début de l’incubation, le mâle reste perché près de se partenaire en la suivant et en effectuant des parades avec elle. Une fois l’incubation commencée, son attention décroît progressivement.
Le quiscale bronzé est un oiseau opportuniste. Il suit les charrues à la recherche de larves. Il se nourrit en premier sur le sol, mais aussi dans les arbres, les buissons et la végétation. Il se nourrit en groupes importants, en dehors de la saison de reproduction. Il utilise son bec au lieu de ses pattes pour trouver la nourriture dans le sol. Il barbote dans l’eau pour attraper des petits poissons, et parfois il tue et dévore d’autres oiseaux.
Le quiscale bronzé s’enfouit dans les fourmilières, permettant ainsi aux fourmis de ramper sur son corps et de sécréter de l’acide formique, probablement pour l’aider à se débarrasser des parasites. Mais il utilise de nombreuses autres méthodes en plus des fourmis.
Le site du nid du quiscale bronzé est choisi par la femelle qui construit aussi le nid, dans des conifères. Mais elle peut aussi utiliser d’anciens nids appartenant à d’autres oiseaux, tels des nids de pics ou de petits rapaces.
Le nid est une grande coupe volumineuse, faite avec des tiges de bois, des feuilles et des brins d’herbes, mais aussi avec des fils de pêche, des plumes, du fumier et des rubans. Le nid est tapissé de boue, et ensuite d’herbes et de crins de cheval.
La femelle dépose de 1 à 7 œufs, de texture lisse et très variables en couleur. L’incubation dure environ 12 à 14 jours, assurée par la femelle. Environ la moitié des mâles désertent à ce moment-là, mais l’autre moitié participe à l’élevage des poussins qui sont nidicoles. Les jeunes abandonnent le nid au bout de 12 à 15 jours après la naissance, et restent aux alentours du nid pendant encore un jour ou deux. Les adultes continuent de les nourrir pendant plusieurs semaines. Le nid du quiscale bronzé est souvent parasité par le Vacher à tête brune, mais le succès pour l’intrus n’est pas garanti.
C’est cependant l’une des espèces les plus communes et largement répandues en Amérique du Nord. Ils sont très communs mais ils sont éliminés en tant que nuisibles pour l’agriculture dans la plupart de leurs habitats.
Le quiscale bronzé est un bel oiseau si nous le regardons de plus près, mais il est détestable pour les autres oiseaux.
Dans certains reportage, nous pouvons voir que le Quiscale bronzé est un des oiseaux les plus intelligent.
Il est un des seuls oiseaux capable de se faire des outils pour attraper sa nourriture.
Voyez la vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=vAe5Sb7jQ50&feature=related
jeudi 2 décembre 2010
Moucherolle des aulnes
Cette espèce est distinguée par la voix et parfois par l'habitat. L'anneau péri-oculaire est un peu plus ditinct et le dos un peu plus sombre que la moucherole des saules.
Le Moucherolle des aulnes (Empidonax alnorum) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Tyrannidae.
Source : Wikipédia
Les moucherolles forment une famille d'oiseaux qui comprend au Québec une dizaine d'espèces dont le Moucherolle des aulnes. Plusieurs espèces de moucherolles sont difficiles à distinguer les unes des autres.
Le nom de famille s'inspire de leur manière de se nourrir. Perchés dans un endroit plus ou moins dégagé, ils surveillent et capturent au vol tout insecte qui s'aventure aux alentours. Ils sont vêtus pour la plupart d'un plumage aux couleurs ternes, peu voyantes. Les teintes sont grisâtres, verdâtres, brunâtres, etc, qui attirent peu l'attention de leurs proies.
Le Moucherolle des aulnes se présente en plumage sobre : du gris, du noir, avec des barres pâles qui ornent les ailes. Un cercle blanc autour de l'œil et le jaune de la mandibule inférieure du bec s'ajoutent au reste. Un peu plus petit qu'un moineau, il est aussi un peu plus élancé. Comme chant, rien de bien musical : un petit cri de deux syllabes.
Vous pourrez observer le Moucherolle des aulnes bien sûr, là où poussent les aulnes, dans les endroits humides, marécageux, au milieu de petits saules et d'autres arbustes.
Le Moucherolle des aulnes est l'un des oiseaux qui couvrent le plus grand territoire au Québec, partout dans les lieux humides, parmi les arbres et les broussailles. Il en est de même aux États-Unis. Le couple fait son nid, pas très haut, dans un arbre ou un arbuste dans le milieu humide où il évolue. La femelle pond quatre œufs et les couve pendant deux semaines. À la fin de l'été, quand les mouches volantes se font rares, on déménage dans le sud du continent et en Amérique du Sud.
dimanche 28 novembre 2010
En mémoire de mon chien Max
Nous avons eu bien du plaisir à voir faire notre chien quand il était vivant. Malheureusement, il n'est plus là, mais nous gardons de bien beaux souvenirs de lui. Il aimait tellement aller au village qu'il nous le faisait savoir en claquant sur la caisse de bière. Il savait quand nous sortions les bouteilles vides que nous allions l'emporter au village. C'est pas bête ces ptites bêtes là. Mais, il n'avait pas soif..hi..hi..
vendredi 26 novembre 2010
Urubu à tête rouge
Bonjour, aujourd'hui, je vais vous parler un peu de l'Urubu à tête rouge, cela ne m'arrive pas souvent de pouvoir les photographier, mais au moins j'ai quelques photos même si elles ne sont pas très bonnes.
L’urubu à tête rouge (Cathartes aura), aussi appelé vautour aura, est l’une des trois espèces d’oiseaux de proies du genre Cathartes, de la famille des Cathartidae. Il possède la plus vaste aire de répartition des vautours du Nouveau Monde : il est présent du sud du Canada jusqu’au sud de l’Amérique du Sud. Il se rencontre dans une grande variété d’habitats ouverts et semi-ouverts dont les forêts subtropicales, les terrains buissonneux, les prairies et les déserts.
L’Urubu à tête rouge possède une envergure moyenne de 1,80 mètre pour un poids moyen de 1,4 kilogramme. Sa tête et son cou sont rouges et sans plumes. Les plumes du corps sont noires ou brunâtres mais le dessous des pennes semble gris argenté, ce qui contraste avec le bord plus sombre des ailes[1]. La tête de l’adulte est petite proportionnellement à son corps, sa peau est nue et plissée, et sa couleur varie du rose au rouge vif[2]. L’adulte possède également un bec relativement court, crochu et de couleur ivoire[4]. L’iris est gris brun ; l’œil possède un rang simple et incomplet de plumes sétiformes sur la paupière supérieure et deux rangs sur la paupière inférieure[5]. Grâce à ses longues et larges ailes, il utilise en vol les vents ascendants pour planer, ne battant que rarement des ailes. Le dimorphisme sexuel est minime : les sexes sont identiques au niveau de la coloration du plumage, bien que les femelles soient en moyenne légèrement plus grandes[3], comme chez beaucoup d'autres espèces de rapaces. Après l'observation d'une empreinte de la patte gauche dans la boue, on note les vestiges de la palmature entre les doigts de devant, et également la plus grande profondeur de l'empreinte vers la pointe des orteils, montrant que l'oiseau s'est penché pour boire.Les pattes sont rosâtres, pouvant tirer sur le jaune, et généralement tachées de blanc. Les deux orteils de l’avant sont longs et possèdent de petites palmures à leur base[6]. Les pieds sont plats, relativement faibles et mal adaptés pour empoigner ou serrer[7]. En vol, la queue est longue et étroite, contrairement à celle de l’Urubu noir, et à l'extrémité arrondie. Les narines ne sont pas divisées par un septum mais sont plutôt perforées : lorsque l'oiseau est de profil, un observateur peut voir à travers le bec[8]. L’Urubu à tête rouge effectue une mue qui commence à la fin de l’hiver ou au début du printemps. Il s’agit d’une mue graduelle qui dure jusqu’au début de l’automne[9]. Les juvéniles sont globalement similaires aux adultes mais possèdent une tête grise et moins ridée[10], un bec noir à son bout et des pattes plutôt grisâtres[11].Lorsqu’il plane, ses ailes orientées vers le haut forment un dièdre positif et l’oiseau incline souvent son corps d’un côté à l’autre, ce qui expose ses rémiges grises au soleil et les font paraître argentées. Le vol de l’Urubu à tête rouge est un exemple de vol plané où l’animal bat des ailes peu fréquemment, profitant de sa faible charge alaire et utilisant les vents ascendants pour planer[14]. Il vole généralement bas pour pouvoir utiliser son odorat afin de repérer les charognes[10], pouvant parcourir de 25 à 40 km/h, et rester six heures consécutives sans battre des ailes[10].
C’est un nécrophage qui se nourrit presque exclusivement de charognes. Son sens de l’odorat est bien développé et il trouve sa nourriture en volant au ras des arbres, détectant les gaz produits par la décomposition des carcasses. Il ne possède pas de syrinx et de fait ses vocalisations consistent en des grognements et des sifflements. Les individus se regroupent par centaines pour la nuit. L’Urubu à tête rouge niche dans des cavités, des arbres creux ou des buissons et élève généralement chaque année deux oisillons qu’il nourrit en régurgitant de la nourriture. Il a peu de prédateurs naturels. L’Urubu à tête rouge est protégé légalement par la « Loi sur la convention concernant les oiseaux migrateurs » aux États-Unis[44], et au Canada[45], et par la « Convention pour la protection des oiseaux migrateurs et du gibier » au Mexique[45]. Aux États-Unis, il est illégal de capturer, de tuer ou de garder en captivité des Urubus à tête rouge et les infractions à la loi sont punies par une amende allant jusqu’à 15 000 dollars US et une peine de prison allant jusqu’à six mois[46]. Malgré la loi sur la convention concernant les oiseaux migrateurs, les Urubus à tête rouge peuvent être gardés en captivité s’ils sont blessés ou incapables de survivre en liberté[46]. En captivité, ils peuvent être nourris de viande fraîche et les individus plus jeunes se gaveront si l’occasion se présente[4].
L’Urubu à tête rouge peut être confondu avec l’Urubu noir, notamment les juvéniles ou les individus en vol. Il s’en distingue facilement par sa taille, plus grande, et à la couleur de sa tête, mais également et enfin par de légères différences dans le contraste des plumes, sous les ailes[10]. On remarque aussi des différences au niveau de la forme de la queue, plus étroite et à l'extrémité plus arrondie chez l'Urubu à tête rouge.
L’Urubu à tête rouge est maladroit au sol et se déplace en sautillant. Il lui faut déployer de grands efforts pour s’envoler, en battant des ailes tout en sautillant et en poussant sur le sol avec ses pattes[4]. Parfois, il lui arrive même de régurgiter un repas non digéré et trop lourd afin de pouvoir s’envoler loin d'un prédateur potentiel[4].
En hiver les Urubus à tête rouge abandonnent le secteur nord-ouest de leur répartition pour gagner des zones plus chaudes, vers l’Amérique du Sud. On peut voir ces oiseaux se regrouper en grand nombre dans l’isthme de Panama, seule jonction terrestre entre les deux Amériques, formant un « goulot d'étranglement » mais aussi un passage obligé pour l’espèce qui utilise les courants ascendants, moins abondants sur l’océan[10]. Il y est le rapace le plus observé : en 2008, le projet Raptors Ocean to Ocean Count de la Panama Audubon Society a compté 1 192 746 Urubus à tête rouge au-dessus de l’isthme[27].
Il s’agit de l’espèce d’urubus la plus abondante de l’Amérique[7]. Sa population globale est estimée à
5 000 000 d’individus[26].
Autour des grandes villes d’Amérique du Sud, le nombre d’Urubus à tête rouge a considérablement augmenté ces dernières années.
L’Urubu à tête rouge est placé sur la liste des espèces de préoccupation mineure (LC) de l’UICN. Les populations semblent stables et l’espèce n’a pas atteint le seuil requis pour être placée sur la liste des espèces vulnérables, c’est-à-dire qu’elle ne subit pas une diminution de plus de 30 % en 10 ans, ou en trois générations[26].
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Urubu_%C3%A0_t%C3%AAte_rouge
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Urubu_%C3%A0_t%C3%AAte_rouge
mardi 23 novembre 2010
Étoile, dentelle et cheveux d'anges
La nature nous réserve de bien beaux moments. Une étoile de rivière...
De la dentelle
et des cheveux d'anges.
En fait, c'est l'impression que me donne mes photos lorque je photographie la chute que j'ai en arrière de ma résidence. Merveilleux spectacle et féérie.
Inscription à :
Articles (Atom)